MW / Accueil / Articles / INTERVIEWS - WILD DAWN (09 AVRIL 2015)
.
.
TITRE:

WILD DAWN (09 AVRIL 2015)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

STONER



Après un "Pay Your Dues" qui avait marqué les esprits d'une partie de l'équipe éditoriale de Music Waves, les Wild Dawn sont de retour avec "Bloody Jane’s Shore", premier EP d'une liste qui risque fort de rapidement s'étoffer...
STRUCK - 31.07.2015 -
9 photo(s) - (0) commentaire(s)

Music Waves a pris rendez-vous avec Wild Dawn pour évoquer la carrière du groupe... Une interview dans laquelle il sera notamment question de grosses guitares et de... chemises à carreaux...


Quelle est la question qu’on t’a trop souvent posée ?


Romain Clément : Peux-tu nous présenter le groupe ?


On ne le fera pas puisque nous l’avons fait avec nos chroniques. A cet égard, après un troisième album encensé par la critique et notamment Music Waves, pensez-vous que "Pay Your Dues" vous a fait passer un cap ?

Romain : Tu attaques fort dès la première question (Rires) ! Je pense qu’il nous a fait passer un cap musicalement entre nous dans le groupe. Le premier album "Double Sided" avait une approche très directe - on parlait de bière et de nanas avec des soli joués à 200 km/heure -, et nous nous sommes rendus compte que cette histoire tournait vite en rond et que si nous continuions ainsi, nous n’allions pas durer longtemps (Sourire) !

Du coup, on s’est posé les bonnes questions, on a également connu des galères avec notre management si bien que le processus créatif était un peu plus sombre et on a ralenti un peu les tempos tout en travaillant plus sur les ambiances, sur le groove et remettre le duo basse/ batterie un peu plus en avant… "Pay Your Dues" a posé les bases de tout cela et chacun a vraiment pu trouver sa place dans le groupe ! J’ai l’impression que sur "Double Sided", la basse/ batterie était plus un soutien de la guitare et du chant…


Notre approche de la musique est moins… "enfantine" !


Tu estimes que vous êtes plus structurés aujourd’hui ?

Romain : Je le pense vraiment ! Notre approche de la musique est moins… "enfantine" !


Si oui, avez-vous une pression particulière au moment de vous lancer sur la compo de son successeur ?


Romain : Non, je ne pense qu’il y ait de la pression, je parlerais au contraire d’excitation ! Je suis très content d’écrire de la musique - j’en écris tous les jours -, et je suis ravi de pouvoir partager de nouvelles choses avec les gens…





Tu dis écrire quotidiennement, dans ces conditions, pourquoi sortir un EP plutôt qu'un nouvel album ?

Romain : Même si cet EP dure 44 minutes, il contient 6 nouvelles chansons écrites et 3 chansons bonus qui sont en fait des reprises acoustiques de "Pay your Dues". Et pour cette raison, nous avons préféré le sortir sous format EP plutôt qu'en album.


Est-ce que le succès d’estime de "Pay your Dues" a précipité la sortie d’un support studio afin de surfer sur la vague ?

Romain : Je ne pense pas qu’on ait cherché à surfer sur la vague du succès de "Pay your Dues", si on peut parler de succès… De nos jours, c’est très dur d’exister et surtout de ne pas se faire oublier, et la seule façon pour que les gens continuent de nous suivre, c’est d’avoir de l’actualité, or pour un groupe, c’est : avoir des dates, des vidéos et des enregistrements.

Nous avons réfléchi pour savoir comment faire pour proposer régulièrement des choses qui nous permettraient d’être suivis : on a donc décidé d’opter pour un format plus court qu’on sortira plus souvent ! L’idéal étant de sortir un EP tous les ans…


C’est ce qui va se passer ?

Romain : Oui ! Pour ne rien te cacher, nous rentrons en studio dans 2 semaines pour enregistrer le prochain EP.


On se revoit donc dans 6 mois pour sa promotion ?

Romain : Exactement, dans 6 mois, on se revoit pour parler du nouvel EP que j’espère génial (Sourire)…





Les 3 titres réécrits en acoustique correspondent-ils à une volonté de toucher un nouveau public ou est-ce plutôt une envie artistique ?

Romain : C’était une réelle volonté artistique ! En fait, ce qu’il s’est passé, c’est que pour "Pay your Dues", nous avons fait énormément d’interviews radio et les animateurs voulaient que nous jouions "live"… Or débouler avec les amplis, un batteur qui frappe comme un sourd, ça ne le faisait pas du tout et la solution sympa était de faire de l’acoustique !


Même si nous n’avions jamais fait d’acoustique, on a trouvé ça très sympa de pouvoir réarranger notre propre musique avec de nouvelles couleurs.


Ces trois reprises acoustiques sont donc une idée en réponse à une demande des médias ?

Romain : Tout à fait ! Et même si nous n’avions jamais fait d’acoustique, on a trouvé ça très sympa de pouvoir réarranger notre propre musique avec de nouvelles couleurs.


Les trois reprises sont la bonne surprise de cet EP, prouvant que Wild Dawn est là où vous ne vous attend pas : en êtes-vous conscients ?

Romain : C’est clair qu’il y a ce côté surprise mais je ne pense pas que de manière objective, ce soit les morceaux les plus réussis de l’EP : c’est surtout le côté déroutant, nouveau qui plait !


L'énergie plus appuyée encore et ce contraste avec la version acoustique comme si vous déposiez les armures pour faire quelque chose de plus personnel ?


Romain : C’est sûr qu’on est plus naturel sur ces morceaux, il y a beaucoup moins d’artifice, d’effets : il y a une voix, deux guitares et on joue…





Tu nous refais le sketch des Inconnus ?

Romain : Celui du bon et du mauvais guitariste qui crachent (Rires) ?
Plus sérieusement, on a essayé de faire en sorte que les morceaux soient les plus épurés possible…


Êtes-vous conscients que ce côté acoustique peut vous permettre de vous démarquer de la scène hard rock ?

Romain : Non… On a vraiment fait ça dans l’optique d’apporter un bonus au CD et depuis, on a l’impression que cette idée plait à tout le monde si bien qu’on va la garder parce que ça fonctionne plutôt bien. A l’avenir, on peut s’attendre à ce qu’il y ait des tels bonus dans nos sorties peut-être même un morceau écrit purement dans cette optique.


Même si ce n’est pas le cas selon toi, on ressent une réelle envie de démarcation que l’on peut également déceler au niveau du visuel. Les deux premiers albums ont un visuel cartoonesque avec cette souris puis un artwork plus comics sur "Pay your Dues" et aujourd’hui avec "Bloody Jane’s Shore", un visuel très épuré évoquant la scène stoner…

Romain : Tout cela vient du fait qu’auparavant, nous galérions vraiment pour les artworks… : on avait tous des envies très différentes si bien que l’artiste en charge du visuel pétait un câble ! Pour cet EP, nous ne nous sommes pas pris la tête, nous sommes allés voir l’artiste, on lui a dit que l’album s’appellerait "Bloody Jane’s Shore" qui traite d’une histoire dans le désert, on lui a donné les paroles et on lui a donné carte blanche ! Pendant un mois, il a bossé, il nous a présenté son travail qu’on a trouvé super puisque ça collait parfaitement à la chanson et à notre univers…


Plus nous avançons, plus le côté seventies prend le dessus sur le côté metal.


Tu parles d’univers mais vous en aviez créé un sur les deux premiers albums avec cette souris… N’est-ce pas dommage de s’en détacher ?


Romain : On ne s’en détache pas, c’est juste que la musique que nous jouons aujourd’hui est légèrement différente des premiers albums. J’ai l’impression que plus nous avançons, plus le côté seventies prend le dessus sur le côté metal.
L’impression qui vient immédiatement à l’esprit à l’écoute de "Bloody Jane’s Shore" est celle d’être en plein désert mais rien ne dit que sur le prochain EP, le côté cartoon ne reviendra pas en force.


Il y a aussi ces photos dans la forêt orléanaise avec vos looks de bucheron qui évoquent Red Mourning. Est-ce que finalement avec cette promo, Wild Dawn passe une étape pour rendre plus pro l’environnement du groupe ?

Romain : Exactement ! Autour du groupe, on a essayé de créer un vrai univers Wild Dawn. Cette idée des chemises à carreaux vient d’un ami qui nous disait qu’il fallait qu’on trouve un truc pour que quand on nous voit débarquer sur scène, on sache que c’est Wild Dawn. Et il y a 3 ans, alors que nous allions jouer au PPM Fest, par hasard, nous avions tous mis une chemise à carreaux et tout le monde a trouvé génial cette idée qui n’en était pas une à la base (Rires) !

Au départ, ce n’était que les chemises puis afin de développer cet univers, nous avons collé l’image du bucheron qui va de pair avec les chemises à carreaux et finalement, ça colle assez bien avec notre musique !


Tu disais qu’au fil des albums, vous vous détachiez du côté metal en revanche, au niveau visuel, c’est l’inverse…

Romain : Je ne trouve pas… Je trouve que le côté bucheron va très bien avec le côté seventies… Avec tout le respect que je dois aux bucherons, il y a un côté très primitif, binaire dans ce métier : ils coupent du bois…


Finalement comme la différence entre le bon et le mauvais guitariste…

Romain : (Rires) ! Justement, il y a 2 semaines, on a fait une vidéo/ teaser avec un bucheron qui n’arrive pas à couper du bois et par la suite, on lui met notre nouvel EP entre les oreilles et là, il devient une vraie machine à découper du bois. Bref, ce côté primitif colle assez bien avec notre musique …





Il semblerait donc que Wild Dawn soit armé pour affronter son public. Malgré tout, avec ce style musical, des textes tout en anglais, n'auriez-vous pas plus intérêt à prospecter à l'étranger ?

Romain : Il est évident que le packaging plus complet, plus performant et plus pro nous a facilité les démarches… si bien qu’on a justement des plans pour tourner en Russie et au Japon !


Quel message souhaitez-vous faire passer avec cet album ?

Grégory Daudin (qui nous rejoint à ce moment de l’interview) : Piratez notre musique mais écoutez-là ! Après, un CD, c’est quand même cool, ça nous permet de bouffer (Sourire) !

Romain : Le message ? J’ai envie de dire que cela fait dix ans que nous existons, on en a dans le ventre et voici ce que nous sommes aujourd’hui : j’ai l’impression que nous vivons une sorte de nouveau départ !


C’est ce qui ressort de cette interview: Wild Dawn a clairement passé un cap…

Romain : Oui, et pour la première fois, on a pu faire les choses comme nous le voulions. Avant, nous étions toujours un peu drivés : par exemple, même si on trouvait que ça sonnait bien, on ne conseillait pas à Greg de doubler ses voix parce que ça fait trop américain. On nous fait comprendre qu’on n’y connaissait rien, on a donc suivi ces conseils mais après coup, à l’écoute du CD, on s’est dit que nous aurions dû suivre ces avis en doublant les voix…


Tout ce qu’on nous a interdit de faire par le passé, on l’a fait sur cet EP !



Vous regrettez certains choix passés ?

Grégory : On ne regrette pas parce qu’on a vraiment bien été entouré, on a énormément appris comme par exemple : doubler les voix, c’est vachement bien (Rires) et c’est la même chose pour les guitares…

Romain : Bref, tout ce qu’on nous a interdit de faire par le passé, on l’a fait sur cet EP !

Grégory : Cet EP est une sorte de check-point : cela fait 6 ans que nous existons, il est le reflet de ce que nous valons aujourd’hui !





Malgré tout pour revenir à ce que vous disiez, comment expliquez-vous que les conseils qu’on vous a suggérés aient été totalement erronés ?

Grégory : Celui qui nous avait dit ça est un vrai génie mais il avait une approche un peu trop puriste. Pour lui, selon le vieil adage "less is more" : la voix devait avoir un gros feeling et nous devions enjoliver tout ça avec une jolie guitare… Et si tout cela était bien fait, ça devait envoyer du lourd. Ça envoyait bien du lourd mais on aime aller en contre-sens de cette voie ! Et finalement, ce que nous avons choisi de faire "envoie tout autant du lourd" tout en n'aseptisant pas le tout : c’est juste différent !


On rassure vos fans, vous n’allez pas jusqu’à faire du djent sur le prochain album ?

Romain : Non, non, non (Rires) ! On ne va pas jusqu’à faire n’importe quoi non plus : on veut quand même garder le côté organique !


Tu dis que le djent c’est n’importe quoi ?

Romain : (Rires) Non, je n’ai jamais dit ça ! Je dis juste que par rapport à notre style, on ne peut pas s’amuser à tout doubler…


Donc si Devin Townsend se propose pour produire votre prochain EP, vous refusez ?

Grégory : Je ne dirais pas non parce que le mec est quand même super fort !

Romain : Oui, mais ce n’est pas adapté à notre musique. Il faut adapter la technique à notre langage. Si la technique ne correspond pas à ton langage, ce qui va sortir ne sonnera pas bien au final !

Grégory : On joue sur du matos correct, si tu mets 15 couches de guitares, finalement, tu n’auras plus aucun relief et tu sonneras comme tout le monde… Il faut le faire avec parcimonie.

Romain : Et comme nous avons pu faire cet EP par nous-mêmes, comme on le voulait et quand on le voulait, il y a un côté plus naturel qui ressort…


Pensez-vous que ce côté naturel explique l’accueil moins réservé que par le passé ?

Romain : Je pense que oui ! Ça s’entend dans la musique : chacun est désormais à sa place, chacun joue de façon très naturelle et au feeling…

Grégory : Et le fait qu’on soit tous potes joue énormément : on a passé un super bon moment en studio ! On a gardé malgré tout une certaine rigueur dans le boulot parce que ça reste de la musique, ça ne se fait pas n’importe comment… Mais si je dois résumer cet EP, je dirais qu'il est à base de potes et ça se sent ! On était content d’être en studio pour enregistrer sur une bande magnétique, on n’avait pas la pression du temps et de l’argent liée à la location d’un studio…


Qu’attendez-vous de cet album et de cette promo ?

Romain : L’attente principale c’est qu’il plaise ! On a l’ambition que le groupe prenne de l’ampleur, que les gens le connaissent davantage.
Et concernant cette promo, nous attendons le retour des journalistes pour savoir si ils adhèrent à cette nouvelle façon de faire et nous conforter dans l’idée que nous n’avons pas fait n’importe quoi…


En avez-vous vraiment besoin ?

Romain : Non mais ça nous rassurerait ! Imagine que cette journée promo, tous les journalistes nous disent que ce que nous avons fait est nul…

Grégory : … A commencer par le support EP…


Mais le fait de sortir un EP plus régulièrement prouve que vous avez compris les "rouages" de l’industrie du disque actuelle, si on peut parler de rouages aujourd’hui vu les difficultés de cette même industrie…

Grégory : Tout à fait ! Je pense à Down qui a sorti deux EP de 6 titres, certains ne comprennent pas mais personnellement, j’estime que c’est une opportunité afin de s’adapter à la nouvelle façon de consommer de la musique.





Quelle est la prochaine étape ?


Grégory : On vit au jour le jour : on fait de la musique qui nous plait et la phase de composition, d’enregistrement me plait beaucoup. On retourne en studio prochainement, j’ai vraiment hâte d’y être.
Et j’ai également hâte que cet EP sorte pour avoir des retours. Si nous faisons de la musique, c’est pour qu’elle soit écoutée…


A cet égard, vous nous avez dit en exclusivité retourner prochainement en studio. N’est-ce pas précipité alors que vous n’avez pas encore eu de retours et que vous ne savez pas vraiment comment votre démarche est accueillie ?

Grégory : C’est vrai ! Mais vu que nous avons un studio à notre disposition, peut-être allons-nous tout jeter à la poubelle. Je ne pense pas qu’on en arrive à ce point mais tout est possible…

Romain : En ce qui me concerne, quand j’ai une idée en tête, il faut impérativement que je la finisse. Si ça trouve, on fera 2 EPs et ça sera fini… Mais si on voit que le format fonctionne, pourquoi ne pas continuer ?

Grégory : Oui d’autant que j’aime vraiment ce format de 6 titres que tu t’appropries rapidement.


Quel est votre meilleur souvenir d’artiste ?


Romain : C’est tout récent : c’était avec Gotthard à Nice. On a mis réellement le feu : le retour de notre bassiste a pris le feu (Rires) ! J’étais super content, je me disais qu’on avait enfin des moyens pyrotechniques (Rires) !
J’ai un autre très bon souvenir, c’était la première partie de Girlschool à Strasbourg. C’était la première fois qu’on jouait dans une autre ville et qu’on avait un tel accueil : les gens connaissaient les paroles de nos chansons, ils étaient à fond sur le groupe alors que nous pensions que ça allait être comme d’habitude, c’est-à-dire qu’on allait monter sur scène, mettre 5 morceaux pour bouger les fesses du public et c’est seulement sur les 2 derniers qu’il serait chaud. Mais là non, dès qu’on est monté sur scène, le public était fou : c’était super ! Cette date reste vraiment une de mes préférées et j’ai vraiment hâte d’y retourner jouer.

Grégory : Mon souvenir préféré est une date dans notre coin à Orléans….

Romain : Ah, je pensais que tu allais sortir le MetalCorner au Hellfest..

Grégory : … Ah mais oui, c’est ça mon meilleur souvenir (Rires) ! On jouait au MetalCorner au Hellfest avec une programmation de bourrins qui nous faisait passer pour des jazzmen. Notre pote ingénieur son qui était à la table de mixage me demande de faire des tests de micro pour qu’il puisse régler le tout. Je balance quelques "Hey ! Hey !" et là, j’entends un écho d’une foule innombrable qui me répond "Hey ! Hey !"… C’était fou !
Mais je pensais aussi à une date à Orléans où les gens nous ont acclamés : c’était incroyable d’être ainsi accueillis à la maison !


Au contraire, quel pourrait être le pire ?

Romain : Celui qui m’a le plus traumatisé, c’était une concentration de motos …

Grégory : Oh la la …

Romain : Ce concert, c’était du délire !

Grégory : Tous les groupes de rock ont leur bide…

Romain : Quand ils nous proposaient la date, ils nous ont vendu du rêve c’est-à-dire une réunion de 450.000 bikers qui écoutent du gros hard rock ! Et finalement, tu arrives, on te sert le repas qui consiste en une soupe à l’oignon qui nous a ballonné. Et quand on a commencé à jouer, ils sont allés bouffer de leur côté ! En gros, on était en train de jouer devant 5 personnes et les organisateurs mangeaient ! Il pleuvait, on jouait sur des planches et donc, on n’était pas couvert bien entendu… Et à la fin, les mecs défoncés nous demandent de jouer du Noir Désir, du rock’n’roll quoi…

Grégory : On était prêt à remballer les amplis et les mecs nous disent qu’on avait signé pour 2 heures et si on ne jouait pas 2 heures, on n’était pas payé !

Romain : C’était horrible !





On a commencé cette interview par la question qu’on vous a trop souvent posée au contraire, quelle est celle que vous souhaiteriez que je vous pose ?

Grégory : Certains journalistes me posent des questions originales auxquelles j’aime parfois répondre comme dans quel type de maison j’aimerais vivre….


C’est effectivement original mais désolé, chez Music Waves on privilégie les questions liées à la musique…

Romain : (Rires) Et vous le faites très bien…


En attendant rendez-vous dans 6 mois pour le prochain EP pour d’autres questions plus originales…

Romain : En espérant que les chroniques ne nous aient pas détruits…


Et si jamais elles le sont, cela remettrait-il en cause la voie prise par Wild Dawn ?

Grégory : Non parce qu’on est content de faire ce que nous faisons ! 


Donc rendez-vous dans 6 mois…

Romain : A part si la chronique de Music Waves nous a taillés, on refusera l’interview (Rires) !

Grégory : Non, moi je la ferai quand même parce que tes questions sont intéressantes (Sourire) !


Et il n’y a pas de raison parce que la chronique sera de nouveau faite par Arnaud qui a apprécié le précédent…

Romain : Tout à fait, on a lu sa chronique qui était superbe !





Merci

Romain : Merci à toi, c’était une super interview !


Et merci à Arnaud pour sa contribution...



Plus d'informations sur http://wilddawn.com
 
(0) COMMENTAIRE(S)  
 
 
Haut de page
 
Main Image
Item 1 of 0
 
  • 4381
  • 4382
  • 4383
  • 4384
  • 4385
  • 4386
  • 4387
  • 4388
  • 4389
Haut de page
EN RELATION AVEC WILD DAWN
DERNIERE CHRONIQUE
WILD DAWN: Bloody Jane's Shore (2015)
4/5

Avec ce nouvel EP, Wild Dawn confirme qu’il faudra compter sur eux dans les années à venir.
DERNIERE ACTUALITE
WILD DAWN MOUILLE SA CHEMISE... A CARREAUX POUR MUSIC WAVES!
 
AUTRES ARTICLES
ELYOSE (23 JUILLET 2015)
A l'occasion de la sortie de son nouvel album "Ipso Facto", Music Waves a eu la chance d'échanger avec la belle frontman du groupe, Justine Daaé...
MARK KNOPFLER -ZENITH DE PARIS - 3 JUIN 2015
Le 2 et 3 juin 2015, le Zénith de Paris recevait une icône du rock'n'roll : Mark Knopfler
 

"Découvrez Osmium"

.
F.A.Q. / Vous avez trouvé un bug / Conditions d'utilisation
Music Waves (Media) - Media sur le Rock (progressif, alternatif,...), Hard Rock (AOR, mélodique,...) & le Metal (heavy, progressif, mélodique, extrême,...)
Chroniques, actualités, interviews, conseils, promotion, calendrier des sorties
© Music Waves | 2003 - 2024