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TITRE:

KISSIN' DYNAMITE (01 JUILLET 2016)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

HARD ROCK MELODIQUE



Interview Carpe Diem avec nos amis allemands de Kissin' Dynamite...
STRUCK - 27.07.2016 -
8 photo(s) - (0) commentaire(s)

Dans la foulée de notre interview d'Epica (à lire prochainement dans votre webzine favori), nous avions une nouvelle fois rendez-vous avec nos amis de Kissin' Dynamite.... Si l'histoire ne dit pas les Allemands ont partagé la même chambre et douche que Simone, toujours est-il qu'ils étaient en pleine forme pour évoquer leur cinquième effort "Generation Goodbye"...


C’est la troisième fois que nous nous rencontrons et la première fois pour toi…

Johannes Braun : (à Andreas Schnitzer) C’est vraiment un mec super…


… Il dit ça de tous ses interlocuteurs, il ne souvient pas de moi…

Andreas : (Rires) !

Johannes : Détrompe-toi, je me souviens parfaitement de toi !





Nous nous étions rencontrés pour la sortie de "Megalomania", que s’est-il passé depuis ? A cette époque vous sembliez confiants en votre album, est-ce toujours le cas ?

Andreas : Nous avons toujours confiance en cet album, nous en sommes toujours très contents…

Johannes : Plein de choses se sont passées : nous avons connu une tournée couronnée de succès - sur certaines dates, il y avait cinq fois plus de personnes que lors de notre précédente tournée –, une tournée qui pour la première fois nous a fait traverser l’Europe en tant que tête d’affiche !
"Megalomania" nous a permis de grandir en tant que personnes et de connaître plein d’expériences : sur cet album, nous avions repoussé nos limites en mélangeant nos racines musicales issues des années 1980 et des styles plus modernes…


Justement, votre actualité est ce nouvel album qui marque un retour à vos racines, faut-il y voir un lien avec votre changement de management et ce besoin de reprendre le contrôle de votre carrière ?

Johannes : Premièrement, il faut savoir que notre management n’a jamais eu une quelconque influence sur notre musique…





C’est très important de le préciser car l’amalgame aurait pu être fait…


Johannes : Tout à fait mais ce n’est pas le cas ! Notre précédent manager n’a jamais contribué aux choix de nos chansons ! C’était un chic type mais il n’en faisait pas assez selon nous : nous avons préféré nous passer de lui car nous étions capables de faire seuls ce qu’il faisait !
Prendre le contrôle est quelque chose de naturel… Par exemple, je suis producteur musical : je produis et écris pour plusieurs artistes… et notre décision de carrière a été que je produise également Kissin’ Dynamite !


Il est important pour nous d’aller à chaque fois plus loin même si nous sommes peut-être allés trop loin en termes de modernité sonore


Bref, à aucun moment, vous n’avez perdu le contrôle de vos décisions au moment de la sortie de "Megalomania" ?

Johannes : Pas du tout !

Andreas : Non, il est important pour nous d’aller à chaque fois plus loin même si nous sommes peut-être allés trop loin en termes de modernité sonore. Mais il était important de sortir de notre zone de confort !





Mais à l’écoute de ce nouvel album, il était étonnant de vous voir un peu revenir dans votre zone de confort justement…

Andreas : C’est effectivement le cas, nous essayons de trouver le bon équilibre : "Money Sex Power" n’était pas exactement ce que nous étions, "Megalomania" présentait trop de changements et aujourd’hui, nous avons vraiment l’impression que "Generation Goodbye" représente ce que nous sommes musicalement.


Tu sembles dire que vous avez enfin trouvé votre identité avec ce nouvel album ?

Johannes : C’est effectivement le cas sur chaque nouvel album. La vie d’artiste est un voyage et notre art représente nos développements et évolutions personnels. Personne ne peut dire aujourd’hui ce que nous ferons dans deux albums, et c’est très intéressant parce que rien n’est figé, on ne peut pas dire de façon certaine que c’est notre zone de confort et que nous jouerons toujours la même chose : ce serait terriblement ennuyeux !


"Generation Goodbye" est un album unique qui le restera !


C’est exactement ce que tu m’as dit lors de notre dernière rencontre à savoir que tu ne souhaitais pas "sonner comme la copie d’une copie" ce que tu trouvais terriblement ennuyeux…

Johannes : Tout à fait ! Comme il serait ennuyeux de faire une copie de "Generation Goodbye". "Generation Goodbye" est un album unique qui le restera !


Ne crains-tu pas qu’en faisant des albums différents à chaque nouvel album peut déstabiliser votre public qui ne s’y retrouverait pas ?

Andreas : Non car quand les gens parlent des albums de Kissin’ Dynamite, ils viennent à constater que c’est à chaque fois différent mais il y a toujours quelque chose un fil rouge qui ramène à Kissin’ Dynamite : personne ne peut réellement dire ce que c’est : la marque de fabrique, le fait que nous ayons toujours la même voix… Au final, chaque album reste toujours du Kissin’ Dynamite !
Nous n’avons jamais changé de line-up, nous sommes des amis et tous les groupes que nous croisons nous envient.


Coïncidence troublante, vos amis de BlackRain ont connu la même expérience de changement de management : en avez-vous parlé ?

Johannes : Je suis ami avec Swan avec qui j’échangeais il y a peu de temps encore mais je n’étais pas au courant qu’ils avaient changé de manager.
Je pense qu’il est nécessaire qu’un groupe change de management pendant sa carrière. Tout est question d’outil. Par exemple, nous avons la même équipe depuis que nous avons débuté en tant que professionnels et nous resterons ainsi tant que cela fonctionnera humainement et que nous aurons le sentiment que nous sommes entourés de personnes compétentes.





En effet, il semblait que vous ayez trouvé votre propre son avec "Megalomania" ce qui est moins le cas avec "Generation Goodbye" qui sonne plus un comme un retour aux sources classiques de Kissin’ Dynamite, moins industriel et moins d’expérimentation…


Johannes : Je ne dirais pas que c’est moins le cas sur cet album, je dirais plutôt que c’est le cas aujourd’hui !
Il faut faire des efforts pour atteindre ton objectif et parfois, tu en fais trop et c’est après coup que tu t’en rends compte. Par exemple, "Generation Goodbye" contient toujours ces éléments modernes comme sur 'Hashtag your Life' ou 'She Came She Saw' notamment avec sa partie dubstep électro-industriel.
Je dirais que ce mélange marche mieux sur ce nouvel. "Megalomania" était un album cool que nous aimons toujours mais d’un côté, il y avait notre aspect rock et de l’autre, celui électro…


Nous avons fusionné nos influences sur cet album


Tu dis que vous avez réussi à fusionner le tout sur ce nouvel album ?

Johannes : C’est exactement ça, nous avons fusionné nos influences sur cet album.

Andreas : Et dans cet album, le côté moderne est en soutien des chansons plus que mis en avant sur le précédent.


Lors de notre dernière interview, tu disais que "Megalomania" était un album authentique. Peut-on dire qu’être authentique est de faire de la musique sans pression ?

Johannes : La pression est toujours présente quoi qu’il advienne, à commencer par la date de sortie que tu dois respecter. Je n’ai jamais eu le temps que je souhaitais pour faire tout ce que je voulais faire mais c’est également une bonne chose, par exemple, nous avons travaillé un an et trois mois sur "Generation Goodbye" ce qui est très long et rares sont les groupes à prendre autant de temps.
Je n’avais plus assez de perspective objective lors des deux derniers mois de mixage : ça faisait trop longtemps que j’étais en studio ! Et il a fallu que les autres membres viennent me voir - me disent d’aller me laver et me raser car je ne ressemblais plus à rien…- et surtout me dire que l’album sonnait déjà super bien deux mois auparavant ! Il fallait arrêter !

A ce jour, "Generation Goodbye" était notre album le plus authentique mais d’album en album, nous sommes plus authentiques en contrôlant de plus en plus de choses : pour cet album, nous avons eu la main sur la composition, la production, les idées de visuel, de clips… Toutes les décisions créatives viennent du groupe !
C’était également le cas sur "Megalomania" mais pas à ce point…





A contrario avec un tel contrôle, ne craignez-vous pas un manque de recul sur votre travail ?

Andreas : Nous avons les compétences : Johannes est producteur, Ande s’occupe un peu du management, chaque membre a ses compétences… pourquoi s’en priver ?

Johannes : Nous sommes structurés comme jamais : la répartition des tâches est très claire. Andreas est le parolier, je suis le compositeur, Jim s’occupe de la partie média, Andi mon frère est en charge de la partie média social et Steffen notre bassiste est le responsable du merchandising.
J’aime donner l’exemple de Iron Maiden qui est le summum dans le contrôle de tout ce qui les concerne : ils en viennent même à piloter eux-mêmes leur propre Boeing, c’est fou !


Iron Maiden fait plein d’argent en agissant de la sorte, est-ce également votre cas ?

Johannes : Plein (Rires) ! Mais plus que l’argent, nous avons le sentiment que c’est notre bébé que nous devons faire grandir !


Le visuel de ce nouvel album montre une volonté de se libérer de la pression des réseaux sociaux, d’Internet… Est-elle si forte que vous vouliez en parler ?

Andreas : 'Hashtag your Life' va également dans ce sens. Nous constatons que dans la rue, tout le monde a les yeux rivés sur son téléphone, en concert, les gens filment le concert avec leur téléphone plutôt que de le regarder… c’est étrange ! Les gens sont perdus sans leur téléphone !
Nous ne disons pas que c’est une mauvaise chose parce que le téléphone mobile a des avantages indéniables mais il faut savoir dire stop !


Voulez-vous passer un message à vos fans à travers cette chanson et notamment cette tendance à filmer les concerts avec son téléphone, ce qui est juste horrible pour les autres spectateurs ?


Johannes : Cela me rend triste de voir ces gens qui filment car ils ne sont pas capables de vivre le moment présent !

Andreas : Ils sont seulement intéressés par le futur en se disant qu’ils regarderont cette vidéo le lendemain…





… ou pas…

Andreas : … ou pas, tu as raison ! Ca me rappelle ce concert d’Iron Maiden que nous sommes allés voir avec Jim et nous donnions des coups aux spectateurs qui filmaient afin que l’image soit encore plus mauvaise (Rires) !

Johannes : Pour en revenir aux médias sociaux, nous ne disons pas du tout qu’ils sont mauvais : Facebook, Twitter… diffusent très rapidement les informations. Tu peux t’en servir d’outil promotionnel mais j’ai une métaphore pour les décrire : une voiture peut te mener d’un point A à un point B plus rapidement que si tu y allais à pied, en revanche, c’est ta décision de conduire sans prendre de risque ou sans respecter les limites de vitesse et sous l’emprise de l’alcool au risque de tuer quelqu’un sur la route. C’est exactement la même chose pour les médias sociaux : le problème ne sont pas les médias sociaux mais leur utilisation.


L’information circule à vitesse incroyable dans ces médias, tellement vite que la majorité ne vérifie pas si ce ne sont finalement pas que des rumeurs… Comment vivez-vous cette dictature d’Internet ?

Johannes : L’information circule très rapidement mais encore une fois, les utilisateurs ne sont pas obligés de partager cette information. Les utilisateurs sont les seuls responsables si cette information circule rapidement. Ils devraient réfléchir avant, vérifier les sources, contrôler si c’est une rumeur ou non…


La meilleure chose que nous pouvons faire est de mettre son public face à un miroir et lui montrer ce qu’il est



Même si cet album n’est pas un concept album, il semble important pour vous de dénoncer le pouvoir d’Internet sur nos vies comme en témoignent les deux premiers titres de cet album ?

Johannes : Je dirais que c’est appel au réveil ! Nous n’allons pas améliorer le monde, nous ne sommes pas le Dalaï-Lama, nous sommes juste des musiciens et en tant qu’artistes, la meilleure chose que nous pouvons faire est de mettre son public face à un miroir et lui montrer ce qu’il est.
Sur "Generation Goodbye", nous avons donné notre opinion mais cet album montre également que nous avons grandi : j’ai personnellement travaillé sur moi-même afin de vivre le moment présent. Ce n’est pas quelque chose que tu peux allumer ou éteindre d’un claquement de doigts, c’est quelque chose qui nécessite un vrai travail sur soi, un vrai entraînement ! Cet album est un appel au réveil que nous adressons à notre public afin qu’il se dise que nous avons peut-être raison et qu’il faudrait peut-être parfois laisser son téléphone à la maison quand je sors au pub avec mes amis parce que je n’en aurai probablement pas besoin.


Musicalement, même si cet album marque un retour à un classique heavy rock mélodique, votre musique est toujours fraîche et catchy… chaque morceau est un tube en puissance…

Johannes : (Sourire) Merci, merci beaucoup !


La chose la plus importante est le sentiment qui se trouve derrière chaque chanson [...] c’est la marque de fabrique qui suit le groupe depuis ses débuts


… chaque titre a ce potentiel : comment composez-vous et savez-vous qu’il faut garder ou non un titre ?

Johannes : Premièrement, la chose la plus importante est le sentiment qui se trouve derrière chaque chanson et j’ai envie de dire que c’est la marque de fabrique qui suit le groupe depuis ses débuts : nous avons une situation de vie dans notre esprit au moment de composer une chanson.
Nous voulons que le public chante avec nous et non pas un public en fond de salle qui secoue seulement la tête et pour que le public reprenne les paroles avec nous, il faut écrire des refrains catchy.
Non seulement il faut des refrains catchy mais il faut également de bonnes idées et pour cela, je fais appel à tous les membres du groupe. Par exemple, depuis nos débuts, nous essayons de trouver de bons titres et pour cela, chacun d’entre nous écrit des titres sur une longue liste… C’est ainsi qu’en lisant 'She Came She Saw', le rythme m’est arrivé instinctivement et nous avons continué en posant une mélodie… : c’est un très bon début puis, j’enregistre une cassette démo avec les paroles du refrain et le couplet en chewing-gum. Je l’envoie à Andy qui attrape les vibrations des chansons et la musique déjà présente…

Andreas : Il m’envoie ses démos avec ses paroles en chewing-gum et j’ai la charge d’écrire des paroles fluides ayant du sens pour les couplets.

Johannes : D’autres fois, c’est lui qui écrit quatre lignes de couplets et en les lisant, c’est moi qui attrape la signification de ces paroles et je créé une musique qui colle à ces lignes.


Il y a un bel équilibre entre titres pêchus, titres plus posés mais heavy et power ballades, tout ce qui fait le charme du groupe avec cette capacité à passer d’un ton proche d’un heavy métal couillu à un hard heavy à la Bon Jovi avec une classe folle, était-ce le but ?

Johannes : Tout à fait mais ce n’est pas quelque chose que nous faisons sciemment ! Avec le recul, cet album marque un retour à nos racines : c’est cool mais c’est une démarche totalement naturelle et non réfléchie !





On peut entendre du Queen sur 'Utopia' et son côté épique et 'Flying Colors" peut évoquer Van Halen, ces groupes sont des influences pour vous ?

Johannes : Etant le principal compositeur du groupe, j’ai tellement écouté Queen dans les derniers mois qu’il est naturel que 'Utopia' rappelle le groupe. En revanche, je n’ai pas trop écouté Van Halen ces derniers temps, je ne pourrais pas donc valider mais pourquoi pas : il y a pire comme comparaison (Sourire) !


Finalement, nous pouvons dire que ce retour aux sources est nécessaire quand on voit que toutes les légendes du hard rock se retirent ou nous quittent que ce soit Lemmy, Twisted Sisters, Manowar… Est-ce que ces départs qui marquent la fin d’une époque ont guidé ce retour aux sources afin de ne pas manquer le train de ceux ouvrent la nouvelle époque ?

Andreas : Il est clair que d’ici quelques années, tous nos héros nous auront quitté soit en arrêtant la scène, soit en décédant, c’est d’une tristesse infinie mais c’est finalement normal : personne n’est immortel, c’est la vie ! Et effectivement, cela créé des opportunités pour des jeunes groupes !


Que Black Sabbath, Scorpions, Manowar [...] sont les pères de cette musique originale que nous avons reprise à notre compte en la réinterprétant à notre propre sauce


Mais vous n’êtes plus un jeune groupe, "Generation Goodbye" est votre cinquième album…

Johannes : Exactement, mais je considère que c’est arrogant de dire que nous souhaiterions remplacer ces légendes !
Que Black Sabbath, Scorpions, Manowar… arrêtent, bien sûr que c’est une perte inestimable car il est indéniable que ce sont les pères de cette musique originale que nous avons reprise à notre compte en la réinterprétant à notre propre sauce.
La question est de savoir si le rock va survivre à l’arrêt de ces pères ? Le jazz est un très bon exemple : le jazz a été très populaire des années 1920 à 1940, aujourd’hui, le jazz existe toujours, bien qu’il ne soit plus à la mode. De la même façon, nous ne pouvons pas dire si le rock sera à la mode dans 30 ans : est-ce que ce sera une niche ou un style toujours prisé ?


Mais n’est-ce pas simplement une question liée à l’industrie du disque en général qui est en crise plus que le rock en particulier ?

Andreas : Tout à fait ! Je me souviens attendre avec impatience la sortie des albums de mes groupes préférés, ce n’est plus le cas aujourd’hui et c’est quelque chose que je regrette profondément !

Johannes : C’est vrai, la musique a perdu ses valeurs, sa magie… aujourd’hui, tu peux tout avoir d’un claquement de doigts sur Internet !





C’est une question de société et 'Hashtag your Life' est une sorte de réponse à ces pertes de valeurs finalement : nous ne vivons plus le moment présent…

Johannes : Tu as totalement raison !

Andreas : De la même façon, mon oncle est un peintre et il a énormément de mal à vendre ses œuvres, les gens préférant acheter des clichés imprimés en série vendus dans des grandes enseignes comme Ikea…


Les peintres ont connu ce problème de tous temps, ils deviennent connus et leurs œuvres ont de la valeur lorsqu’ils meurent…

Johannes : Pour relativiser, tu peux te dire que tu seras riche lorsque ton oncle ne sera plus…

Andreas : (Rires)


Et finalement, quelles sont vos attentes pour cet album ?


Johannes : Nous y avons un peu répondu dans une question précédente à savoir que nous n’avons pas la prétention de devenir des légendes, nous voulons juste toucher le plus de personnes possible car nous voulons sérieusement diffuser notre message et c’est aussi pourquoi nous voulons défendre cet album sur scène parce que c’est important de montrer que nous ne sommes pas des musiciens qui vont améliorer le monde mais seulement des musiciens qui montrent ce que vous êtes : c’est notre principal objectif !
Et dans le futur, nous adorerions devenir un plus grand groupe encore, jouer dans des plus grands festivals, devenir plus populaires mais nous n’avons aucune idée quand et comment ça arrivera et pour être honnête, je t’avouerai que je ne veux pas savoir quand je vais être au sommet et à l’inverse quand je serai au plus bas : je préfère profiter de cet intéressant voyage sans savoir où il me mènera !


C’est la conclusion parfaite de cette interview finalement dans laquelle nous avons beaucoup parlé de valeurs, et une de celles que nous avons énormément cité est de vivre du moment présent… et c’est ce que tu résumes dans ta vision de la carrière de Kissin’ Dynamite. Merci beaucoup !

(En français) Merci !


Merci à Noise pour sa contribution...


Plus d'informations sur https://www.kissin-dynamite.de/en/
 
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