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TITRE:

KADAVAR (14 SEPTEMBRE 2017)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

HARD ROCK



A l'occasion de la sortie de "Rough Times", deux des trois membres de Kadavar étaient de passage à Paris...
STRUCK - 27.09.2017 -
7 photo(s) - (0) commentaire(s)

L'occasion pour nous de revenir sur les débuts fulgurants de ce groupe qui surfe sur la vague revival 1970's avec un petit truc en plus...


Quelle est la question qu’on vous a trop souvent posée ?

Christoph 'Lupus' Lindemann : (Rires) J’en ai une mais je ne la dirai pas…


Mais pourquoi pas, c’est tout l’objet de cette question justement…


Lupus : Nous sommes généralement comparés à Black Sabbath et la question qui revient le plus souvent est de savoir si notre plus grosse influence est Black Sabbath…





Et si vous êtes d’accord avec cette comparaison…

Lupus : Et si nous sommes effectivement d’accord, c’est vrai… "Ce titre sonne comme Black Sabbath, êtes-vous d’accord ?" (Rires)


Après on peut comprendre ce type de questions à la sortie de votre premier album ce qui n’est clairement pas le cas de Kadavar…

Lupus : D’ailleurs, c’est amusant, j’ai eu une interview récemment et mon interlocuteur me disait que ce n’était pas le cas par le passé mais notre nouvel album sonnait vraiment Black Sabbath… Je lui ai répondu "Quoi mais qu’est-ce que tu as écouté le premier album ou notre dernier ?" (Rires)


Bon on est dans la merde parce que c’est tout l’objet des questions de cette interview…

Lupus : (Rires)


Nous n’étions qu’un groupe avec trois amis qui cherchaient à s’amuser en jouant de la musique…



En 2012, vous sortiez votre premier album très bien accueilli. Avez-vous été surpris par un tel accueil ?

Lupus : Bien sûr ! Nous n’étions qu’un groupe avec trois amis qui cherchaient à s’amuser en jouant de la musique…


Ce n’est plus le cas ?

Lupus : Nous sommes des collègues (Rires)… Plus sérieusement, nous avons plus de plaisir que jamais mais nous ne prenions pas au sérieux à nos débuts ou du moins pas le groupe au sérieux. Nous allions juste au studio pour jouer de la musique : cinq ou six chansons étaient sorties et au bout d’un an, nous avons décidé de les enregistrer et de voir ce qui allait se passer…


Penses-tu malgré tout avoir perdu de la fraîcheur des débuts ?

Lupus : Non, non pas du tout… Nous essayons toujours de trouver un moyen de la retrouver. Cette fois-ci, nous avons changé de studio, nous avons emménagé notre matériel dans un nouveau studio et cela a été le début du processus du nouvel album. Il faut trouver une façon de rendre tout cela intéressant.





Le fait que vous ayez un nouveau studio, va-t-il changer quelque chose dans le rythme des sorties ?

Lupus : Nous avons enregistré nos deux premiers albums dans notre propre studio mais aujourd’hui, nous avons plus de place et surtout nous avons enfin une salle d’enregistrement et une autre de contrôle.


Ça paye bien Kadavar finalement ?

Lupus : Tu n’imagines pas à quel point nous sommes riches (Rires) ! Plus sérieusement, la seule différence est qu’aujourd’hui, nous avons un peu plus de place et nous ne sommes plus seulement dans un sous-sol et nous n’avons plus à passer une heure pour nous rendre dans ce studio mais seulement dix minutes… C’est un gain précieux de temps !


Quand les gens ont découvert notre musique, ils se sont demandé si c’était une musique originale des années 1970 ou si c’était une production moderne


Mais on a évoqué ce très bon accueil du premier album. Comment l’expliques-tu ?

Lupus : Il y a probablement deux raisons. La première est que c’étaient les débuts de ce mouvement rétro rock et il n’y avait que quelques groupes à cette époque dont Witchcraft et Graveyard qui étaient probablement les deux plus importants. Et quand le deuxième album de Graveyard est sorti - "Hisingen Blues" en 2011 chez Nuclear Blast - , ce furent les vrais débuts du mouvement avec un plus large public. Et à ce moment-là, Kadavar avait un an.
La deuxième raison est probablement la production de notre premier album qui est très différente et si unique comparé aux autres productions modernes : elle était analogique et le son était très fin et rugueux, il n’y avait pas de mastering… Le son était très difficile à appréhender, comme celui des Beatles, et personne ne faisait ça à ce moment-là. Et quand les gens ont découvert notre musique, ils se sont demandés si c’était une musique originale des années 1970 ou si c’était une production moderne.
Je pense que la combinaison de ces deux paramètres explique le succès de notre premier album.


Nous ne sommes que trois mais nous sommes capables de créer un son en concert bien meilleur que certains autres groupes avec deux guitares par exemple…


Kadavar joue un rock influencé par les années 1970. Quelle est votre atout pour sortir du lot ?

Lupus : Hum… C’est une bonne question, je ne saurais pas te répondre. Peut-être sommes-nous plus honnêtes vis-à-vis de nous-mêmes et nous essayons de prendre plus au sérieux notre musique. Nous ne nous prenons pas au sérieux mais nous prenons au sérieux notre groupe. Nous n’avons jamais dit que nous étions un groupe original des années 1970, nous voulons juste être considérés comme de bons musiciens et de bons interprètes. Nos concerts sont plutôt intenses, heavy… nous ne sommes que trois mais nous sommes capables de créer un son en concert bien meilleur que certains autres groupes avec deux guitares par exemple… Je pense que la clé de Kadavar sont nos performances sur scène !


Nous combinons l’énergie live du punk et du hardcore avec la musique des années 1970


C’est le cas, votre énergie surtout scénique fait la différence mais également une certaine sorte de brutalité dans les parties de guitares…

Lupus : Tu as raison, c’est cet ensemble. Nous avons grandi en écoutant des groupes punk rock et nous avons cette attitude punk et hardcore en nous. Je pense que nous combinons l’énergie live du punk et du hardcore avec la musique des années 1970.
Plein de groupes revival 70’s ou groupes rétro sont de super musiciens mais ne sont pas de super performers : ils jouent parfaitement leurs titres mais personnellement, j’aime les imperfections, j’aime quand c’est sale, quand ça gratte…





Personnellement, j’aime les imperfections, j’aime quand c’est sale, quand ça gratte…



A ce titre, certains titres peuvent déstabiliser (on pense notamment au dernier titre), certains autres semblent non terminés… mais ces imperfections sont une partie du charme, de la force de cet album. L’avez-vous fait délibérément ?

Lupus : Eh bien, cet album a été écrit en seulement deux mois et enregistré dans la foulée. Notre but a toujours été de capturer l’énergie du moment et non pas d’écrire la meilleure chanson qui ait jamais été écrite.


Notre but a toujours été de capturer l’énergie du moment et non pas d’écrire la meilleure chanson qui ait jamais été écrite


C’est peut-être aussi pour cela que votre musique parle à tant de monde : elle sonne vrai !

Lupus : C’est vrai, pour commencer nous enregistrons nos titres dans les conditions du live. Nous jouons tous les trois ensemble, nous n’enregistrons pas la guitare, la basse, la batterie séparément. Pour nous, il est impossible d’enregistrer un bon album si chacun joue sa partition dans son coin.
Nous nous réunissons dans une salle, et quand le batteur prend les baguettes… c’est ce moment que nous voulons capturer. Ce ne sera pas parfait : chacun d’entre nous fera des erreurs mais c’est dans ces moments que l’énergie se trouve.


Quelle est la partie laissée à l’improvisation ?

Lupus : Il n’y en a pas quand nous enregistrons. Quand nous enregistrons, chaque note est claire mais le processus d’écriture laisse la place à chacun pour créer les parties qu’il souhaite et son rôle à jouer dans le titre. Nous sommes à l’aise avec ce processus car nous ne sommes que trois dans le groupe : il n’y a pas de compétition. Nous faisons en sorte que chacun d’entre nous se sente à l’aise dans les titres que nous proposons et si ce n’est pas le cas, nous creusons un peu plus… Et quand nous considérons que nous sommes arrivés à la chanson, nous l’enregistrons trois fois et nous prenons la meilleure prise.


Votre deuxième album“Abra Kadavar” a déçu une partie de vos fans. Comment l’expliquez-vous ? Un premier album trop parfait ?

Lupus : Pffft… Je ne sais pas, tu trouveras toujours des gens qui seront déçus… Si je m’attardais sur ce genre de choses, je ne sortirais plus aucun album. Tant que j’aime ma musique, tant que j’aurai la force et l’énergie de faire un album que je considérerai comme bon, je continuerai… Je ne sais pas quoi dire, je trouve que ce deuxième album est bon et qu’il y a plein de bonnes chansons à l’intérieur. Peut-être nous l’avons-nous enregistré trop rapidement après le premier album ? Oui, nous aurions dû passer plus de temps à écrire ces chansons, l’écriture de ces chansons n’était pas parfaite : je dirais que cet album était plus une démo et nous aurions effectivement attendre un peu plus longtemps avant de le sortir mais il fallait sortir cet album qui marquait notre signature avec Nuclear Blast en 2013. Nous étions jeunes et nous voulions faire cet album mais avec le recul, je qualifierai cet album  de naïf. Mais aujourd’hui quand j’écoute des titres comme ‘Doomsday Machine’, ‘Come Back Life’, ‘Dust’, ‘Fire’ ou encore ‘Black Snake’… bien sûr, ils ne sont pas totalement finis ou polis mais aujourd’hui, à part nous qui aurait les couilles de sortir un truc comme ça (Rires) ?


Donc aujourd’hui avec le recul, vous ne changeriez rien ?

Lupus : Bien sûr que non !


L’esthétique de vos pochettes est très importante spécialement depuis "Berlin". Pouvez-nous nous parler de la dernière ?

Lupus : Pour moi, Kadavar n’est pas seulement un groupe musical. J’aime qu’il y ait tout un univers autour : le logo, les vidéos, les photos… Pendant longtemps, je n’ai pas su ce que je voulais pour cet album mais j’étais sûr qu’en comparaison à "Berlin", je ne voulais pas faire une pochette qui représenterait à nouveau les beautés des années 1960 en jouant sur le noir et blanc, les lumières… Je voulais une pochette qui serait un contraste à la dernière et je voulais une pochette non pas laide mais qui serait rugueuse comme le titre de l’album (NdStruck : "Rough"). Je suis tombé sur ce collage d’un artiste californien et je me suis dit que si je me trouvais chez un disquaire et si je devais choisir un album d’un groupe que je ne connais pas, quelle pochette me ferait arrêter mon tri et prendre cet album… Je sais que cette image n’est pas belle mais elle me touche et je sais que c’est le type de pochette qui m’aurait fait acheter l’album sans connaître le groupe.
Cette pochette représente un petit garçon avec une cicatrice sur le torse comme si on lui avait retiré son cœur. C’est donc un petit trou du cul sans âme qui est allongé sur une chaise devant la piscine de ses parents. C’est la représentation parfaite de notre génération de faignants qui ne fait rien et qui se fout de tout… et c’est pourquoi il se transforme en squelette…





C’est le message que tu délivres dans cet album mais penses-tu qu’on puisse l’avoir en n’ayant pas cette pochette sous les yeux et rien qu’en écoutant cet album ?

Lupus : Je sais que certains ont compris le message. Cet album a un message politique, il est plus en paix que les précédents albums… Cet album ne traite pas de la beauté ou le merveilleux monde dans lequel nous vivons, c’est totalement l’inverse. Certains l’ont compris mais je ne pense que la pochette t’aide vraiment si tu n’as pas saisi les paroles de l’album (Rires) !


Cet album semble le plus personnel que vous ayez sorti à ce jour ; est-ce le cas ?

Lupus : Oui, oui… Nous avons dû prendre une décision. C’est cool de raconter des histoires, nous évoquions des histoires personnelles dans les albums précédents mais nous essayions de les intégrer dans des histoires plus générales. Aujourd’hui, nous voulons faire une déclaration, nous vivons une époque rugueuse (NdStruck : "Rough Times") et ça ne va pas aller en s’arrangeant, nous nous devions donc d’être plus spécifiques et nous devions le pointer plus directement, et cela passe par des textes dans lesquels tu dis concrètement ce que tu penses… Pour ces raisons, c’est définitivement notre album le plus personnel !


Tu dis que c’est ton album le plus personnel avec cette pochette qui est en lien direct avec le contenu. Doit-on penser que tu considères faire partie de cette génération ?

Lupus : Bien sûr ! Pourquoi ne m’inclurais-je pas dans le lot ? Je ne suis au-dessus de personne… Je fais partie de cette génération mais j’essaie de trouver des solutions.


Le fait que vous jouiez une musique des années 1970 peut montrer que tu rejettes ce qui se passe aujourd’hui et notamment cette génération ?

Lupus : A la fin des années 1970, les manifestations et la rue de façon générale avaient énormément de pouvoir, il en est sorti les droits des noirs, des femmes, des homosexuels… certains problèmes économiques ont été menés sur la rue… Toutes ces choses élémentaires qui sont pour nous totalement logiques aujourd’hui alors qu’elles étaient impensables il y a 40 ans.
En utilisant la bande-originale de cette époque qui avait un vrai pouvoir dans les problèmes actuels qui ne sont pas si éloignés finalement de ceux de l’époque car ce sont encore des problèmes humains : cette bande-originale peut permettre aux gens de comprendre.


Kadavar est le projet d’un groupe et ça l’a toujours été



Comme on le voit depuis le début de l’interview et le thème de ce nouvel album qui te tient à cœur, je voulais savoir qu’elle était la place réservée aux autres membres ?

Simon 'Dragon' Bouteloup : Je suis moins présent dans le processus créatif et je dirais que c’est encore plus le cas dans cet album que les précédents…

Lupus : Je ne le vois pas de cette façon : nous sommes tous égaux dans ce groupe. Nous amenons chacun nos idées en studio et nous créons le tout ensemble. Kadavar est le projet d’un groupe et ça l’a toujours été : ce n’est pas une question d’un leader et les autres qui suivent.





Tu crains cette image d’un groupe résumé à sa seule tête pensante et le risque que l’ambiance se dégrade et le groupe se sépare ?

Lupus : Non, non… Nous sommes trop relax pour ça, il n’y a aucune prise de tête au sein du groupe.
La créativité va plus loin que l’écriture des chansons et les textes. Bien sûr quand il s’agit de parler des textes, je prends la parole puisque je suis l’auteur de ces textes… mais je peux te garantir quand nous avons chacun notre espace d’expression dans ce groupe et pour être franc, les uns sans les autres, rien ne serait possible ! Par exemple, si je suis très impliqué dans l’écriture des textes, à l’inverse je ne suis pas du tout intéressé par le processus du mastering par exemple…


A ce titre, même si tu ne t’y intéresses pas, t’arrive-t-il d’être déçu par le mastering de certains albums ?

Lupus : Le problème est que nous sommes tellement impliqués dans ce projet que nous n’avons pas le recul nécessaire. Quand tu enregistres un truc, tu te dis parfois "Wahou, c’est le meilleur morceau que j’ai jamais fait !" et quelques mois plus en l’écoutant, tu te dis que tu as fait de la merde…


Ecoutez-vous vos albums après l’avoir enregistré ?

Lupus : Je l’écoute une fois quand je reçois le vinyle et puis, j’ai envie de dire, c’est terminé…
C’est comme si tu donnais naissance à quelque chose : tu donnes toute sa force et tu es totalement exténué après ça, le projet est vraiment intense… et ensuite, quand l’album sort, il est à la disposition du public et après, c’est plus du ressort de notre management et de notre maison de disque, personnellement, ça ne m’intéresse pas trop…


… tu regardes ensuite cet album, ces chansons grandir sur scène…

Lupus : Tout à fait !

Dragon : Après, il faut également trouver une façon de faire revivre ces chansons sur scène d’une façon différente de l’album. Il faut donc retravailler sur ses chansons. C’est le cas des nouvelles chansons mais également des vieilles qui n’arrêtent pas de changer chaque année. Je viens d’une scène qui est plus axée sur l’improvisation et je me disais que j’allais m’ennuyer à jouer 300 fois la chanson parfaitement de la même façon mais ce n’est pas le cas, c’est même le contraire : on trouve toujours une façon de faire vivre et évoluer les chansons.





Et c’est ce que cherchent les fans…

Dragon : Bien sûr !


Comparé à "Berlin", ce nouvel album sonne plus brutal et expérimental. Etait-ce la volonté au départ ?

Lupus : Honnêtement, c’est sorti ainsi, nous n’y avions même pas pensé. Nous ne discutons pas au préalable de comment doit sonner l’album ou ce que doit être l’album. La seule chose que nous avions, c’est le titre "Rough Times" et la pochette, nous avons commencé à écrire l’album autour de ça.
Nous sommes partis ainsi, la première semaine n’a pas été très productive, nous avions de vieilles idées de l’album « Berlin » que nous n’avions pas utilisé, nous pensions commencer à travailler sur ces idées pour voir si nous pouvions en faire quelque chose en creusant un peu plus et nous nous sommes rendu compte que ces chansons qui avaient deux ans ne colleraient pas avec cet album. Nous sommes partis dans une autre direction en partant de zéro, nous avons commencé à écrire à l’improviste et nous avons retrouvé cette énergie, cette spontanéité… et puis, c’est allé de plus en plus vite, nous écrivions de plus en plus de titres…


Pour faire sens avec le titre « Rough Times », l’album sonne rugueux… Comment l’avez-vous enregistré ?

Lupus : Premièrement, nous avons enregistré cet album par nous-mêmes ce qui est une différence notable avec "Berlin" qui avait été enregistré et mixé autre part. Nous voulions revenir aux racines des deux premiers albums -ce qui ne veut pas dire que nous n’aimons pas "Berlin"- mais c’est une façon différente d’enregistrer. Nous avons changé certaines choses : nous voulions plus de basse sur cet album, nous voulions que tous les instruments soient égaux et désormais, on entend beaucoup la basse ce qui apporte un côté plus énergique.


Simon tu es français, avez-vous un lien particulier avec notre pays comme le suggère le titre ‘A L’ombre du temps’ ?

Dragon : Bien entendu, vu que je suis français, il y a un lien. Mais depuis que le groupe vient jouer en France, il y a toujours eu un public grandissant. Je dirais qu’en termes de fanbase, la France est le deuxième pays…


Peux-tu nous en dire plus sur ce curieux titre ?

Dragon : Nous voulions un titre qui clôt l’album mais qui le résume également. Le texte était en anglais à la base mais l’idée nous est venue un matin de le faire en français et que je le lirais en français.


C’est toi qui parle dans ce titre ?

Dragon : Oui, tu n’aimes pas mon accent (Rires) ?   





On a commencé par la question qu’on a trop souvent posée, au contraire, quelle est celle que vous souhaiteriez que je vous pose ?

Lupus : Oh mec… bien vu de commencer par la question qu’on nous a trop posée et finir par celle-ci… mais je n’en ai aucune idée !


Réfléchissez à cette question et…

Lupus : … oui, quand on se reverra, on commencera par cette question


Merci beaucoup

Lupus & Dragon : Merci à vous


Merci à Childeric Thor pour sa contribution...


Plus d'informations sur http://www.facebook.com/pages/kadavar/108072095944589
 
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