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TITRE:

Raismes Fest 2018 - 1ère Journée - 15 Septembre 2018


TYPE:
COMPTE-RENDUS DE CONCERT
GENRE:

HARD ROCK



20 ans cela se fête et pour cet anniversaire exceptionnel le Raismes Fest a mis les petits plats dans les grands avec une affiche exceptionnelle. Pour cette journée de samedi il a déjà frappé un joli coup avec deux grosses têtes d'affiches.
NOISE - 03.10.2018 -
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Vétéran des festivals français, le Raismes Fest fête ses années ses 20 ans et pour la 10ème fois Music Waves est présent pour ce rendez-vous traditionnel de mi-septembre dans le cadre du Château de la Princesse. Pour cet anniversaire les équipes du festival ont mis les petits plats dans les grands avec des têtes d’affiches exceptionnelles. Le festival résiste contre vents et marées aux modes et aux groupes de plus en plus gourmands. Il force le respect par son indépendance et son côté familial autour d’une équipe de bénévoles souriante et sympathique. Tout commence le samedi 15 septembre avec 9 groupes au programme sur l’unique scène principale du festival. Cela laisse le temps de souffler et profiter du cadre verdoyant et bien organisé du parc du château. Bertrand est toujours à la présentation des groupes avec son humour habituel et sa sympathie.


 
A 12h30 on retrouve avec Kinderfield un des gagnants du tremplin organisé à Barlain dans le cadre du Chti Rock le 21 Avril. Le groupe est lillois, formé en 2016 il s’est lancé en 2017 et sort juste avant le festival son premier disque. Il évolue dans un style éloigné des habitudes rock du festival avec un metal industriel couillu évoquant Marilyn Manson mais aussi Type O Negative. Le public est clairsemé mais cela ne va pas faire peur à des musiciens motivés à faire partager leur musique. Hormis Thomas le chanteur, les musiciens sont masqués comme s’ils sortaient des derniers Star Wars. D’entrée le groupe assomme son public avec un metal industriel décapant et teinté d’électro. Au chant la voix grave de Thomas est parfaite et le côté dansant de la musique est bien remuant. Au hasard des titres ‘The Devils On The 6th Floor’ aura bien fait son effet. Au-delà de la face industrielle on retrouve aussi une facette néo metal proche de Korn avec des aspects post-apocalyptiques martiaux. Kinderfield a fait du bon travail avec cette demi-heure de concert. Il représente une ouverture sympathique de la part des organisateurs qui rappelle les temps anciens du festival.  Le groupe a en tout cas su séduire une bonne partie du public présent grâce à sa fraicheur et sa puissance brute.


Vient ensuite un autre gagnant du tremplin avec Raspy Junker. Le public est plus en nombre pour accueillir une formation initiée en 2012 qui évolue dans un metal teinté du son des années 90 quand Alice In Chains et autres cartonnaient. A cette base le groupe ajoute une influence Metallica époque "Black Album". Tout cela va donner un joli mix, détonnant et groovy avec un son de basse bien présent. Dès l’entame avec ‘The Dark Side’ le ton est donné, le chant de Nicolas est savoureux avec ce côté éraillé plein de feeling. On apprécie une bonne montée en puissance avec un sens de la mélodie qui fait mouche et un excellent refrain. L’efficacité est au rendez-vous avec ‘Sounds Of Bullet’ puis ‘World Of Violence’. Le premier est d’une jolie puissance tandis que le second se fait d’abord calme dans un esprit proche de Pearl Jam avant d’éclater. Nicolas est excellent et dégage un charisme certain. Les musiciens tissent eux un superbe ensemble taillé dans le meilleur du genre. En fin de concert ‘Faceless Heroes’ fait un dernier carton, en y incluant un extrait du ‘Whole Lotta Love’ de Led Zeppelin le groupe ravit les amateurs de rock. Raspy Junker a remué son monde de belle manière, sa fraicheur a été en outre très appréciée. Cette découverte qui remet à l’honneur le son des années 90 aura été une des belles surprises de ce week-end.


Dans la région et ses alentours pas mal de personnes connaissent Max Pie. Tony et sa bande disposent d’un joli capital sympathie avec leur metal progressif puissant et accrocheur. Ici même en 2015 ils avaient déjà rencontré un joli succès. Depuis le groupe a changé de guitariste et travaille sur de nouveaux titres. D’ailleurs les 40 minutes du concert vont être consacrées en grande partie à ce nouveau matériel. D’entrée avec ‘A Thousand & A Lies’ on ne peut qu’admirer la qualité technique du groupe. Thibaut est un virtuose de la guitare et régale à chacune de ses interventions. Le son est de qualité et outre la guitare la basse se fait une belle place dans le mix. A côté des musiciens on apprécie aussi la puissance vocale d’un Tony qui sait envoyer la sauce tout en ayant une grande force mélodique. Ce mélange de technique et de mélodie fonctionne aussi bien sur les autres nouveautés comme ‘Adriane’s Threat’, ‘Only The Silence Remains’ et ‘Grains Of Sand’. Elles confirment l’ancrage de Max Pie dans un metal progressif accrocheur, les refrains sont soignés et l’excellence est au rendez-vous. En fin de concert ‘Unchain Me’ est toujours aussi sympathique à écouter et nous rappelle la classe de "Odd Memories". On notera aussi la venue sur scène très sympathique de Joe Amore dans un état d’esprit fraternel. Ce concert a été une réussite, Max Pie conjugue force technique et sens de la mélodie qui fait mouche. A présent le groupe ne doit plus perdre de temps et nous proposer un album attendu avec impatience pour retrouver ces nouvelles chansons.





A l’occasion du Chaulnes Metal Fest nous avons pu voir à quel point Öblivion excellait en matière de heavy mélodique puissant et accrocheur. Les frères Amore ont su très facilement se relever de leur départ de Nightmare et proposer avec "Resilience" un album remarquable. Les fans sont au rendez-vous et d’entrée avec ‘Evil Spell’ le ton est donné. L’artillerie lourde est de sortie, le son est costaud et le ton heavy mélodique fait son effet. La voix puissante de Jo est toujours aussi impressionnante et le mélange entre puissance et mélodie est remarquable. Derrière avec ‘Shine In A Galaxy’ le groupe confirme qu’il a signé un sacré album et fait mouche. On y savoure en outre un petit côté Maiden dans les guitares, l’accueil du public est parfait et cela fait bien plaisir de voir autant de monde devant la scène. La suite sera toute aussi réjouissante, ‘Bells Of Babylon’ est une pépite mélodique tandis que ‘I Thought I Was A King’ fait parler feeling et émotion portée par un Joe au top de sa forme notamment sur le refrain. Le groupe fait plaisir à voir, on sent les musiciens soudés et heureux de jouer ensemble. Après un très bon ‘Race Is On’ on retrouve ‘Lord Of The Sky’ de l’époque Nightmare. Ce retour dans le passé fait très plaisir, ce titre restant un énorme moment. La fin du concert avec ‘In The Arms Of The Queen’ avec un ton speed et teinté de symphonique puis sur ‘Dreamers, Believers’ est parfaite. Cette dernière est déjà un classique grâce à un refrain très fort. Öblivion a proposé une superbe prestation taillée dans le meilleur du heavy mélodique, le public a apprécié et on attend un deuxième album histoire d’enfoncer le clou.






Chaque édition du festival met à l’honneur le hard rock vintage et teinté de blues. En ce vendredi les organisateurs sont allés chercher un gros client avec Jared James Nichol. L’Américain  n’a même pas 30 ans mais possède une solide réputation avec des albums et des prestations intenses pleines de feeling.  Il semble tout droit sorti des années 70 avec sa technique de guitare et ce son qui renvoie à Cream ou Mountain et vient de sortir avec "Black Magic" un album formidable. Dans la matinée il est allé épater les apprentis guitaristes dans un showcase à Lille. Pour ce concert de Raismes la foule est au rendez-vous en ce cœur d’après midi pour admirer la force de son art. Elle ne va pas être déçue, ces 40 minutes vont être un voyage hors du temps tout à fait exceptionnel. D’entrée on sent un gros feeling hard blues, la chaleur est forte, Jared respire la classe avec ses deux compères dans un pur esprit power trio. ‘Last Chance’ puis ‘Don’t Be Scared’ sont de pures bombes de blues rock, la voix rocailleuse de Jared est éblouissante de feeling et musicalement on ne peut qu’être admiratif devant un tel toucher.  Dans la suite du concert ‘End Of Time’, ‘Honey Forgive Me’ ou ‘Can You Feel It ?’ sont remarquables de classe. Le public apprécie cette leçon de hard blues classieux et l’avant-scène est remplie comme elle ne l’avait plus été depuis longtemps. Le concert se terminera avec des airs de jams entre blues, hard et rock sur ‘Mississippi Queen’, la reprise de Mountain puis une cover du ‘N.I.B.’ de Black Sabbath pleine de feeling 70’s. Jared James Nichol a donné un concert formidable, sa fraicheur a fait son effet et le public lui réserve un joli triomphe. Pour s’en assurer il aura suffi de voir le monde à son stand juste après le concert. Ce style est décidément inusable et de là où il est quelqu’un comme Stevie Ray Vaughan aura sans toute apprécié cette prestation.






Après unE demi-heure nécessaire pour retrouver ses esprits on retrouve Stocks, le groupe qui dans les années 80 a ravi les fans de rock entre Trust et Téléphone et fait la fierté des gens du nord avec son rock teinté de blues. Il est de retour à Raismes 16 ans après un premier passage. Après une période dorée le groupe s’est séparé et fait depuis la fin des années 80 quelques apparitions, porté par Christophe Marquilly. Cette année il a choisi de relancer la machine 36 ans après un "Enregistré en Public" resté gravé dans les mémoires des fans. Pour cette heure de concert, Stocks va nous balancer la set list de ce concert avec deux titres en bonus. Le public est au rendez-vous, les fans de ce son vintage ne voulant manquer pour rien au monde ce concert. Bien sur ce voyage dans le temps a quelque chose d’obsolète pour certains tant le côté 80’est marqué mais il s’agit aussi et surtout de retrouver un son et des titres qui ont marqué leur époque. Le feeling est au rendez-vous, Christophe est en forme et bien accompagné, son chant rocailleux en français n’a pas pris une ride et avec ‘Le Nord’, ‘Hey Joe’ ou ‘Ça M’Fait Tout Drôle’  le concert débute de la meilleure des manières. La reprise du ‘Cocaïne’ de JJ Cale fait son effet puis ‘Cole Younger’ ou encore ‘Cararas’ se taillent un joli succès. Au milieu de tout cela ‘La Tête à L’envers’ extrait d’ "Eclats De Rock" fonctionne bien tout comme l’excellente reprise de La Grange de ZZ Top dans un pur esprit blues rock. Enfin le classique ‘Suzy’ conclut un concert taillé dans le meilleur d’un hard rock old school. Le public a apprécié cette belle prestation, les années passent mais le talent reste, Stocks reste un redoutable client scénique qui nous a fait voyager dans le temps avec classe.



Après ce bond dans le passé il est temps d’entamer le sprint final. Les organisateurs ont eu l’excellente idée de convier Eclipse. Les Suédois ne sont pas si fréquents chez nous et pourtant leur hard mélodique ravit les fans partout en Europe depuis pas loin de 20 ans. Dans l’esprit d’un Kissin’ Dynamite il sait parfaitement mixer puissance et mélodie, porté par l’excellent Erik Martensson que l’on connait pour son travail avec WET avec Jeff Scott Soto. Cela va donner une excellente heure de concert, avec un public toujours nombreux et bien chauffé d’entrée par un groupe déterminé à étendre sa fan base en France. Le début du concert est remarquable. ‘Vertigo’ puis ‘Never Look Back’ ravissent par leur force mélodique et des refrains efficaces. Ce côté frais et accrocheur se confirme sur ‘The Storm’ puis ‘Wake Me Up’ qui sont tout aussi réjouissantes. Le public est conquis, les fans sont là, de Belgique ou d’ailleurs. La montée en puissance est totale sur ‘Jaded’ et ‘Hurt’. Ces deux titres extraits du dernier album "Monumentum" sont des hits. Le premier est un parfait concentré de heavy mélodique avec un rythme certain tandis que le deuxième est une excellente power ballade dotée d’un énorme refrain et portée par le chant très fort d’Erik. En fin de concert ‘Battlegrounds’ en partie acoustique est remarquable de feeling tandis que ‘Blood Ennemies’ puis ‘Black Rain’ confirment le talent du groupe pour ce hard accrocheur. Eclipse a donné un excellent concert, il est un remarquable compromis de force et de mélodie et a été une parfaite  mise en bouche avant l’arrivée d’une très attendue première tête d’affiche.


 
En accueillant L.A. Guns Raismes a frappé un joli coup et confirme le côté exceptionnel de cette 20ème édition. Le groupe américain est rare dans notre pays et pouvoir l’admirer dans ce cadre familial est une chance. L’histoire de cette légende du hard glam est mouvementée. Depuis ses débuts en parallèle avec la formation de Guns N’Roses à la guerre entre Phil Lewis et Tracii Guns, le groupe a eu de multiples vies. Les deux hommes sont pour le moment ensemble et cela a donné un disque, ‘The Missing Peace’. La foule des grands jours est au rendez-vous, le pic de fréquentation ayant même été un des plus hauts du week-end. En toute logique la set list sera basée sur les 3 premiers disques du groupe qui restent des références.  Après une longue intro sur du Ozzy Osbourne le groupe balance deux extraits de son premiers album,  ‘No Mercy’ puis ‘Electric Gipsy’. Le petit retard est vite oublié, le groupe est en forme, Lewis assure avec son côté criard si typique et place des petits mots en français très bien accueillis. Son compère est aussi en forme et distille d’excellents soli. Au delà du glam on savoure surtout un excellent hard rock avec le pur son des années 80. La suite sera tout aussi excellente, ‘Over The Edge’,  ‘Sex Action’, ‘Better’ ou encore ‘I Wanna Be Your Man’ font un sacré tabac. Le feeling est au rendez-vous, ce plongeon vers la fin des années 80 est délectable et l’ambiance est excellente, Lewis sachant y faire pour se mettre le public dans la poche.  Avec ‘Jelly Jam’ on a pu aussi admirer la classe de Tracii qui a gardé un toucher remarquable. La fin du concert avec ‘The Ballad Of Jayne’ et ‘Rip And Tear’ est une apothéose. Lewis brille de mille feux sur la première avec un feeling à fleur de peau, le public lui répond superbement et ce moment de communion aura collé le frisson. Devant un public aux anges L.A. Guns a proposé un splendide concert retrouvant tout l’esprit du hard rock américain des années 80. Cette prestation forte et accrocheuse restera comme une des meilleures du week-end et même de l’histoire du festival. Ce faisant la pression est forte pour la prestigieuse tête d’affiche de cette première journée.






En attirant dans ses filets Sons Of Apollo, le festival a épaté son monde. Rien que la lecture du line-up donne le tournis. Le groupe est né en 2017 de la volonté de Mike Portnoy et de Derek Sherinian de retravailler ensemble dans un esprit proche de celui de Dream Theater. A leurs côtés on retrouve des pointures. Il y a le bassiste Billy Sheehan avec qui Portnoy a travaillé dans The Winery Dogs. Au chant c’est Jeff Scott Soto qui officie et à la guitare c’est l’ex Guns N’Roses Ron Thal que l’on retrouve, Portnoy ayant collaboré avec lui dans Metal Allegiance.  Ce petit monde a accouché de "Psychotic Symphony" fin 2017 dans un esprit teinté de metal progressif mais avec une facette accrocheuse grâce au chant de Soto. Il est déjà tard quand le groupe débarque, le froid pique un peu mais les fans sont là pour une démonstration de virtuosité musicale. Certes la pleine du château est moins remplie, les fans de hard rock ayant déserté après L.A. Guns, mais le groupe a ses fans et la belle séance de dédicaces avant le concert a montré que malgré leur pédigrée les musiciens restaient très accessibles. Après une intro aux couleurs de Van Halen le groupe débarque et va frapper fort avec ‘Gods Of The Sun’, longue pièce de plus de 10 minutes extraite de l’album. Thal et Sheehan ont sorti les doubles guitares et derrière eux Portnoy et Sherinian se font face prêts à en découdre.  Dans le public pour les fans c’est un régal de virtuosité, certes le son est fluctuant et moins bon à certains endroits du site. Mais on ne peut qu’admirer cette troupe qui assène le meilleur d’un metal progressif racé. Au chant Soto est brillant, il a toujours la chaleur vocale qui fait son charme et garde un charisme animal qui fait sa réputation. Derrière ‘Signs Of The Time’ est tout aussi intéressante, à la face progressive s’ajoute encore une facette mélodique accrocheuse parfaite.


Le concert est lancé idéalement, certes il faut aimer le genre pour adhérer à cet étalage technique mais il est impossible de bouder son plaisir tant Sons Of Apollo maitrise son sujet. Nos musiciens ne vont pas s’arrêter en si bon chemin. ‘Divine Addiction’ et ‘Labyrinth’ sont également ahurissantes de technique. Avec ses neuf minutes ‘Labyrinth’ est un voyage incroyable dans cet univers progressif.  Le clavier de Derek se fait enfin une belle place et le mariage avec la voix de Soto donne un résultat brillant, sa chaleur vocale faisant merveille. Entre les deux on retrouve ‘Just Let Me Breathe’ ressorti du passé commun chez Dream Theater de Portnoy et Sherinian. Après un solo de basse brillant ‘Lost In Oblivion’ marche tout aussi bien dans un style plus direct puis la pénombre se fait sur scène.  Jeff Scott Soto va se lancer dans un exercice qu’il affectionne en reprenant Queen avec la seule guitare de Ron Thal en accompagnement. Et il ne fait pas dans la facilité en allant chercher ‘The Prophet’s Song', superbe exercice de style vocal, puis l’énorme ‘Save Me’. Ce faisant il nous confirme sa classe sur le répertoire de la légende britannique et a donné le frisson. Après ce grand moment de feeling la dernière partie du concert s’entame avec ‘Alive’.  Le titre est une réussite de plus dans un style puissant et accrocheur. La virtuosité va ensuite reprendre le dessus avec des instrumentaux flamboyants mettant en avant Sherinian et son art du clavier.






Après la reprise du thème de la Panthère Rose, ‘Opus Maximus’ donne le tournis  sur plus de 10 minutes, les musiciens se font plaisir et régalent les amateurs de progressif flamboyant. Avant les rappels Derek se fait plaisir avec un solo remarquable avant d’enchainer sur ‘Lines In The Sand’ emprunté à Dream Theater et brillamment interprété. La nuit est entamée mais Sons Of Apollo ne va pas s’arrêter là. Ron Thal est à l’honneur et fait des merveilles avec un solo de feu dans son style flamboyant. Le concert se termine sur une reprise énorme de ‘And The Cradle Will Rock…’ de Van Halen puis avec  un excellent ‘Coming Home’, accrocheur et mélodique il voit Soto se lancer à cappella pour un résultat impressionnant - ultime moment fort du concert.  Malgré le froid glacial et un public moins nombreux, Sons Of Apollo a fait le boulot avec classe, il a fait honneur à son statut de tête d’affiche avec une prestation brillante. Il reste à voir si ces musiciens si occupés pourront donner une suite à cette aventure.





Cette première journée a été une franche réussite et au vu du programme de la seconde il nous tarde de vite revenir dans la plaine du château pour d’autres excellents concerts.



Plus d'informations sur https://www.facebook.com/sonsofapollo1
 
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