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TITRE:

VIZA (06 FÉVRIER 2012)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

METAL FUSION



Véritable coup de coeur de ce début 2012, nous ne pouvions pas rater l'occasion de rencontrer le souffle d'air frais qui traverse le monde, de passage au Divan du Monde. Et pour l’occasion, c’est tout le groupe qui a reçu MusicWaves !
STRUCK - 15.03.2012 -
3 photo(s) - (0) commentaire(s)

Avant de commencer, je tenais à vous dire que MusicWaves a découvert votre musique sur le tard mais que nous étions tombés sous son charme, expliquant pourquoi nous tenions absolument à vous rencontrer…
K'noup Tomopoulos : Oh merci !

Comment vous sentez-vous à quelques minutes d’entrer sur scène ?
K'noup Tomopoulos : Assez excités ! C’est la troisième fois que nous jouons ici. Nous avons une super relation avec nos fans français. A chaque fois que nous avons joué ici, c’était très électrique, plein d'énergie, tout le monde chantait… Je suis assez excité ! Certaines autres fois, je suis un peu nerveux mais pas aujourd’hui ! Probablement parce que j’ai bu beaucoup de thé (Rires) et aussi parce qu’il fait nettement plus chaud ici que les endroits où nous tournions ces deux dernières semaines.

Oui comme vous m’avez dit hors interview, vous étiez encore hier en Slovénie où il faisait –20°.
K'noup Tomopoulos : Oui, il faisait très froid, on se serait cru dans un réfrigérateur (Rires) !

Tu as dis que Viza avait un super contact avec le public français. Comment expliquez-vous cela d’autant que le public français n’est pas forcément connu pour être un fin connaisseur en termes de musique rock ?
K'noup Tomopoulos : Oui mais je pense que c’est un des endroits à la mode dans le monde. C’est un des pays les plus uniques dans le monde. Tu peux t’exprimer ici plus que nulle part ailleurs dans le monde ! Et c’est une raison pour laquelle la connexion se fait si bien parce que nous ne sommes pas juste un groupe de rock normal ! Nous œuvrons dans différents styles, dans différentes cultures musicales, et je pense que c’est en raison de cette singularité qui fait que la France est plus liée au groupe que n’importe quel autres pays !

Et aussi parce que vous parlez de Napoléon !
K'noup Tomopoulos : Oh bien sûr !

Orbel Babayan : (Rires) Et Mona Lisa !

K'noup Tomopoulos : Je ne sais pas si c’est juste une coïncidence mais votre pays m’inspire d’une certaine façon. Nous venons ici, le public adore, nous revenons chez nous en écrivant et créant de nouvelles choses grâce à ça ! C’est une relation Yin-Yang (Sourire) !

[IMAGE1]

Comment un groupe de 7 membres arrive à tenir sur scène ?
Orbel Babayan : C’est la façon dont nous écrivons. Nous écrivons pour tous les instruments et tout le monde connaît son rôle ! Nous ne faisons qu’un sur scène ! Nous faisons en sorte qu’il y ait un équilibre dans la dynamique !

Hiram Rosario : Je suis le plus chanceux de tous ! Je suis le batteur et je ne peux aller nulle part (Rires) !

Andrew Kzirian : Nous espérons que la scène est assez grande pour nous tous !

K'noup Tomopoulos : Quelques fois c’est un peu compliqué, surtout quand nous jouons sur des petites scènes. Nous devons nous battre entre nous et quelques fois, c’est dangereux (Sourire) ! Mais nous savons où chacun d’entre nous se trouve et je sais, par exemple, que je ne dois pas reculer parce que je rentrerais dans Chris !

Quelle est la question qu’on vous a trop souvent posée ?
Alex Khatcherian : C’est une bonne question (Rires)

K'noup Tomopoulos : Sans aucun doute, "Que veut dire Viza ?".

A propos de question trop souvent posée, je suppose que le lien avec Serj Tarkan revient souvent, n’en avez-vous pas assez de voir Viza résumer à cette collaboration ?
Orbel Babayan : On nous a déjà posé cette question et je ne pense pas qu’on ait honte de ça ou que nous en ayons assez ! Beaucoup de membres du groupe sont très influencés par System Of A Down ou Serj plus particulièrement. Nous sommes plutôt fiers de ça, même si nous souhaiterions être reconnus comme un groupe qui mélange plein de choses dans notre musique.

Ne trouvez-vous pas ce parallèle trop restrictif ?
K'noup Tomopoulos : De mémoire, j’ai toujours été comparé à Serj et ce depuis que j’ai commencé à jouer dans mon groupe précédent. Et j’avais l’habitude de répondre que si on voyait ça, c’est que je venais du même endroit que lui, et si je sonne comme Serj Tankian, il faut savoir que Serj Tankian sonne comme tous les autres chanteurs que j’aime aussi parce qu’ils ont cette influence vocale, ce vibrato ! Et maintenant que j’ai rencontré Serj Tankian, pour être honnête avec toi, je suis content que les gens me comparent parce que c’est un honneur ! Même si au final, nous aimerions avoir notre propre voix, notre propre musique… En effet, nous ne voulons pas être résumé jusqu’à la fin de notre vie à Serj Tankian !

C’est une chose cool au début de la carrière pour pouvoir sortir du lot…
K'noup Tomopoulos : C’est très cool c’est vrai ! L’être humain en général souhaite être comparé parce que tu ne peux pas sortir quelque chose de totalement novateur au point de ne pas pouvoir le définir. Les gens sont obligés de se dire que ça leur rappellent quelque chose ou quelqu'un. Ils ne savent pas pourquoi mais ça leur rappelle quelque chose ou quelqu'un. Mais à la fin, ils vont s’apercevoir que c’est une autre chose !

Etes-vous d’accord si je définis la musique de Viza comme une sorte de croisement entre System Of A Down avec le folklore d’Emir Kusturica & The No Smoking Orchestra et des passages orientaux à la Orphaned Land ("Illumination") ou la folie fusion d’un Fishbone ("Things Are Awkward")?
K'noup Tomopoulos : Hum ! J’adore Fishbone !

Orbel Babayan : Et moi, j’adorerais découvrir ce groupe que tu cites: Orphaned Land !

K'noup Tomopoulos : Et je suis certain qu’Orphaned Land ne sonne pas du tout comme Fishbone.

Pas du tout !
K'noup Tomopoulos : C’est exactement ce que nous essayons de faire. Nous essayons de créer de la variété !

C’est tout à fait cela: Viza a sa propre identité avec des éléments rappelant des groupes que j’ai cité.
Alex Khatcherian : Une touche de tout exactement !

K'noup Tomopoulos : Rappeler un groupe est quelque chose qui me plait beaucoup ! Nous sommes des rappels, nous n’avons aucune racine !

Orbel Babayan : Mais ce n’est pas intentionnel. Nous n’essayons pas de sonner ainsi ou faire des échantillons de tous les sons de ces groupes, mais cela arrive malgré en raison de notre diversité !

K'noup Tomopoulos : Tous les groupes sont ainsi !

"Carnivalia" est sorti un an à peine après "Made In Chernobyl". Comment trouvez-vous l’inspiration pour enregistrer des albums si rafraichissants ?
K'noup Tomopoulos : Nous trouvons l’inspiration dans la vie. Chaque jour est une source d’inspiration pour écrire une nouvelle chanson, pour écrire de nouveaux textes, pour se réunir, pour jouer, pour répéter. Nous nous voyons beaucoup et comme je le dis toujours, la règle numéro un pour créer un excellent groupe est d’être d’excellents amis, et nous sommes de très bons amis et nous sommes toujours fourrés ensemble, même si ça n’a rien à voir avec la musique, nous nous voyons pour boire quelques verres, parler de filles (Rires)… ça n’a pas d’importance ! Et juste ça, ça nous inspire pour créer parce que nous sommes des musiciens en général : c’est ce que nous faisons, c’est que nous adorons faire et en raison de ça, nous continuons à écrire ! Vous avez d’autres choses à ajouter à ça ?

Shant Bismejian : (Silence) On est d’accord (Rires) !

Peut-on dire que Viza est la contrepartie rafraichissante et lumineuse de ton projet Neurobox œuvrant dans un prog metal sombre et classique ?
K'noup Tomopoulos : Tu sais quoi ? Viza a un peu de mon histoire qui l’a définitivement inspiré mais autant que l’histoire d’Orbel qui a son projet Pancho & Sancho, que l’histoire de tous les membres du groupe ! Nous avons tous notre propre histoire, nos propres projets musicaux qui se réunissent, non pas pour former Viza, mais pour l’inspirer d’une certaine façon au même titre que tu as dis que notre musique était inspirée par Fishbone !

On peut dire que c’est le mélange parfait ?
K'noup Tomopoulos : Je ne sais si on peut dire qu’il est parfait ?

On peut le dire parce que même si j’ai pu dire que Viza pouvait me rappeler certains groupes, j’ai le sentiment d’un alliage parfait indéfinissable…
K'noup Tomopoulos : Wahou c’est vraiment cool ! Mais tu as aimé dés le début ? Il ne t’a pas fallu plusieurs écoutes ?

Non !
K'noup Tomopoulos : Merci ! C’est génial, mec !

Mais à l’inverse, je t’avouerais qu’un album qui accroche dès la première écoute ne signifie pas que l’album dure sur la longueur. En effet, mon album préféré est peut-être celui que j’ai le plus detesté à la première écoute.
K'noup Tomopoulos : Bien sûr ! C’est amusant que tu dises ça parce que c’est ce que disent tous les fans de Viza que quand ils nous ont vu pour la première fois au Bataclan, ils sont tombés amoureux cette nuit-là et nous venions de sortir "Made in Chernobyl" qui était l’album précédent, en le jouant ils disaient que c’était incroyable qu’il y avait tant d’emphase dans "Made In Chernobyl". Et quand Carnivalia est sorti, c’était évident qu’il allait psychologiquement décevoir parce que tu ne peux pas répliquer cette émotion initiale qui est née ce jour-là et qui est très excitante et unique. Donc, ça a du sens ce que tu dis à savoir que tu aimes tellement cette musique que tu ne veux pas que ce sentiment meurt mais il va mourir parce que c’est ainsi (Rires) !


[IMAGE2]

J’ai un peu évoqué Orphaned Land qui se considère comme des "messagers de la lumière", de son côté, quel message souhaite véhiculer Viza ?
K'noup Tomopoulos : Andy, plutôt que de faire des photos, j’adorerais que tu répondes à cette question (Rires) !

Andrew Kzirian : Je pense qu’on peut le séparer en deux ! D’un côté, tu as l’art et les textes de la musique et de l’autre, les sentiments du groupe sur certains sujets qui d’actualité dans le monde. Une des choses dont nous sommes le plus fiers est de travailler sur les droits de l’homme, informer sur des choses qui se passent dans le monde, nous récoltons des fonds pour des jeunes défavorisés, des gens qui n’ont pas de foyer… Nous avons fait des concerts contre des génocides qui sont un sujet chaud actuellement en France mais beaucoup d’autres pays devront prendre exemple. Donc beaucoup de membres du groupe se soucient de ce genre de choses. Et projeter notre art, jouer notre musique est une façon de faire comprendre ou apprendre aux gens certaines choses.
Si tu ne fais qu’en parler, les gens ne t’écouteront pas ! Mais si tu joues sur scène, tu peux atteindre des gens qui sans cela n’aurait pas eu connaissance de ces choses.
Et artistiquement, je pense que comme l’ont dit K’noup, notre chanteur et les autres, Viza est un mélange de nos influences, de la vie, de l’apprentissage de la vie en société et mettre tous ces canaux artistiques dans ce que nous produisons en tant que compositeurs !

K'noup Tomopoulos : Je suis tout à fait d’accord mais je voudrais toutefois ajouter que notre musique est aussi interprétée par le public. J’ai grandi en aimant des compositeurs en pensant qu’ils voulaient dire des choses qu’ils n’avaient pas forcément écrit. J’aime cette idée que le public doit se faire sa propre interprétation de notre musique.

Orbel Babayan : D’une certaine façon, c’est plutôt une bonne chose que les gens ne puissent pas catégoriser ce que nous faisons. Tu n’es pas obligé de catégoriser même si ils veulent dire que ça ressemble à du System of a Down ou je ne sais quoi… nous sommes un mélange de tout ça et je pense que c’est une bonne chose que les gens ne puissent pas catégoriser parce que c’est difficile pour eux de dire ce que nous faisons, quel style de musique : du rock alternatif…

C’est juste Viza !
Orbel Babayan : Exactement ! C’est Viza (Rires) !
K'noup Tomopoulos : C’est comme de l’art abstrait et son côté obscur : chacun doit se faire son propre opinion…

Sans transition, quel est votre meilleur souvenir de musicien ?
Alex Khatcherian : Je dirais la première fois que nous ayons un grand concert en Grèce avec Serj Tankian ! C’était un concert en plein air, c’est le plus gros concert qu’on ait fait !

K'noup Tomopoulos : C’était assez cool !

Chris Daniel : Je suis d’accord ! On sautait partout, dansait… c’était fou ! Et je me souviens encore de mon sentiment avant d’entrer sur scène devant combien de personnes ?

Orbel Babayan : 5.000 personnes…

K'noup Tomopoulos : Plus !

Orbel Babayan : Au moins !

K'noup Tomopoulos : Je dirais peut-être 10.000 personnes. Quand tu as l’habitude devant environ 400 personnes, 10.000 personnes pour nous, on se demandait ce qu’il se passait (Sourire) !

Shant Bismejian : Etre en tournée pour la première fois, c’est comme un rêve : tu joues dans un groupe de rock’n’roll et tu tournes à travers le monde !

Hiram Rosario : Je n’ai que des mauvais souvenirs (Rires) !

Mais c’est la question suivante !
Hiram Rosario : (Rires) Non mais c’est vrai ! Mais pour moi, chaque concert est mémorable, et à chaque fois que nous jouons que ce soit pour 10.000 ou je ne sais combien de personnes, ça ne change rien ! Je ressens toujours la même émotion d’amour de la part des gens depuis que je joue dans le groupe !

Orbel Babayan : Pour moi ? En dehors du fait de jouer avec Viza, il y a un soir où j’ai eu le privilège de partager la scène avec Stevie Wonder, je suis un énorme fan de Stevie Wonder ! Hormis ça, j’ai joué avec plein de gens, pleins de chanteurs, d’artistes… mais rien n’est comparable à écrire de la musique comme je le fais avec ces mecs-là et voir le public chanter les chansons que nous avons écrites. Et avec toute l’expérience que j’ai, je ne changerais rien pour rien d’autre !

K'noup Tomopoulos : Pour moi il y en a énormément : le festival de Malmö en Suède, le festival Rockwave en Grèce, ou le Bataclan, ici-même il y a quelques années… ou ça peut-être ce soir ? Pour moi, je rêve de ça depuis que je suis enfant. Gamin, je me souviens dire à mes amis que je voulais juste que quelqu’un apprécie ma musique, chanter avec moi les paroles : j’ai toujours pensé que c’était l’une des choses les plus cool au monde ! Et maintenant que je peux le faire, j’apprécie énormément ces moments ! Je profite de chaque moment et j’adore ces moments, tous les jours… C’est trop cool, mec ! C’est trop dur de ressortir un moment spécifique même si je n’ai pas joué avec Stevie Wonder (Rires) !

Andrew Kzirian : Hormis jouer avec ces mecs, écrire de la musique farfelue et faire des concerts super cool, mon meilleur souvenir a été de jouer avec mon mentor Ara Dinkjian qui est un joueur de oud, qui fait de la world music. J’ai eu la chance de partager la scène avec lui : j’étais comme un petit gamin et lui comme un géant ! J’ai même la chance d’être devenu assez proche de lui pour faire tous ces concerts.

Vous avez tous évoqué votre meilleur souvenir, au contraire, quel serait votre pire mais on ne va pas faire répondre tout le monde et s’il vous plait ne répondez pas cette interview…
K'noup Tomopoulos : (Rires) Alors la réponse officielle ou officieuse ? Allez l’officielle !

Hiram Rosario : Il y a trop !

K'noup Tomopoulos : Ma mère me disait qu’il y aurait des moments diaboliques ! Mais au final, tu as des bons jours et de mauvais jours. J’ai certainement connu mes mauvais moments quand je suis monté sur scène sans voix. Mais comme je te disais pour les meilleurs souvenirs, je ne peux pas répondre pour les pires : la vie est ainsi faite, tu ne peux pas aimer sans détester et tu ne peux détester sans aimer !

Si vous deviez choisir un titre de la discographie pour faire découvrir Viza à quelqu’un qui ne vous connaîtrait pas, quel titre choisiriez-vous et pourquoi ?
K'noup Tomopoulos : Oh c’est une bonne question !

Andrew Kzirian : Je dirais "A Magic Ladder" parce qu’elle a les éléments de tout le monde dans le groupe : elle a des éléments de l’Orient qui vient de moi, elle a des éléments rock, elle contient des passages typiques du vieux Viza et le nouveau son de Viza. Je pense que cette chanson mélange tout dans une chanson ! Je pense que cette chanson englobe tout cela !

On a évoqué la question qu’on vous a trop souvent posée, à l’inverse, quelle est la question que vous souhaiteriez que les lecteurs de MusicWaves vous pose ?
K'noup Tomopoulos : Il fait soif ce soir, voulez-vous boire quelque chose (Rires) ?

Orbel Babayan : Nous sommes un groupe festif ! Nous aimons faire la fête et j’aimerais revenir sur une des premières questions que tu as posée à savoir ce que nous espérions pour le concert de ce soir. Et la réponse est une fête ! Nous aimons voir tout le monde dans le public avec un verre dans la main et un morceau de poulet (Rires) et danser ! Je ne sais pas mais qu’ils passent un super moment, devenir fou, monter les uns sur les autres, tomber… en espérant qu’ils ne se blesseront pas (Rires) !

En gros, vous voudriez demander au public français si il est prêt pour faire la fête avec vous ?
Orbel Babayan : Exactement !

Hiram Rosario : Et à propos du poulet dont il a parlé, savoir si dans la foule si chacun a du poulet (Rires) ?

Orbel Babayan : Mais on parle de poulets sauvages (Rires) !

[IMAGE3]

Nous arrivons à la fin de cette interview? Que souhaiteriez-vous dire aux lecteurs de MusicWaves et peut-être en français ?
K'noup Tomopoulos : (En français dans le texte) "Bonjour Paris" non plutôt "Bonsoir la France ! S’il vous plait rendez-vous au Divan du Monde ce soir" (Rires) !

Hiram Rosario : (en français dans le texte) "S’il vous plait rendez-vous à Paris" (Rires) !

Merci beaucoup !
K'noup Tomopoulos : Merci !

Hiram Rosario : Merci mec !

Andrew Kzirian : Tu es notre journaliste préféré !


Un grand merci à Valérie de VeryShow pour avoir rendu possible cette très belle rencontre et VizaFrance pour nous avoir gentiment mis à disposition ses photos…


Plus d'informations sur http://experienceviza.com/
 
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