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TITRE:

LAZULI (26 OCTOBRE 2013)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

ROCK PROGRESSIF



C’est dans une ambiance plus que détendue pour ne pas dire dans un joyeux bazar que nous avons rencontré LAZULI. Dans les coulisses du Prog en Beauce, l’intégralité du groupe et sa bonne humeur légendaire se sont prêtés au jeu des questions réponses.
ARNAUD - 19.11.2013 -
10 photo(s) - (2) commentaire(s)

C’est dans une ambiance plus que détendue pour ne pas dire dans un joyeux bazar que nous avons rencontré Lazuli. Dans les coulisses du Prog en Beauce, l’intégralité du groupe et sa bonne humeur légendaire se sont prêtés au jeu des questions réponses. Au milieu de réponses parfois farfelues le groupe aborde également des sujets plus sérieux.


Dans un vieux reportage sur France 3 vous expliquiez que grâce aux nouvelles technologies vous faisiez tout depuis votre studio dans le Gard. Gédéric disait que de ce fait il n’avait pas encore vu la Tour Eiffel. Vous lui promettiez de l’y emmener. L’avez vous fait ?

Géd : Je l’ai vu effectivement de loin mais je l’ai vu. C’était lorsque l’on a fait l’émission de France Inter « sous les étoiles ». Juste après la tournée de Fish. Je suis comblé.

(Rires)

Domi : Mais il va trouver un autre monument.

Claude : Ca a été le plus beau jour de sa vie.

Domi : Bon maintenant Gédéric quel monument aimerais tu voir ?

Géd: Je vais rester classique je voudrais bien voir la Statue de la Liberté.


(…) Vous allez bientôt faire une tournée en Amérique du Nord (juin 2014). C’est peut être l’occasion de voir la Statue de la Liberté. Weend’ô (NDLR : présent ce jour là) va également faire une tournée Nord Américaine. Savez vous si vous aurez des dates communes ? Envisagez vous des collaborations histoire d’apporter la « French Touch » sur ce continent ?

Domi : Pour l’instant on ne sait pas du tout si nous avons des dates communes et on ne gère pas du tout la tournée c’est Guy Lacombe qui s’occupe de tout. On connaît juste la date de départ et celle de retour. Nous nous croiserons peut être.

Vous êtes adulés en Allemagne, aujourd’hui il y a de nombreux groupes français qui signent avec PPR (NDLR : maison de disque allemande). Vous êtes en autoproduction, est ce que du fait de votre notoriété vous avez été approché pour signer avec un label ?

(Blanc)

Domi : Ben voilà tu nous as calmé !

Si on est en autoproduction c’est pour de nombreuses raisons. Artistiques mais également parce que la vente de CD et de DVD nous permet de vivre. Il y a très longtemps nous démarchions pour trouver un label. Nous avons eu une mauvaise expérience vis à vis de cela et nous ne démarchons plus du tout. Par contre la porte n’est pas fermée mais ce qui nous intéresse c’est la distribution plus que le label. Nous avons plein de petits distributeurs un peu partout et nous aimerions bien réussir à décrocher une plus grosse distribution. Ce sera peut être le cas sur le Canada. Maintenant s’il y a une proposition intéressante c’est sur que nous l’étudierons.

Toujours vis à vis de l’Allemagne, j’ai entendu parler d’un projet de traduction de vos paroles (NDLR : Par le biais de fans) de façon à ce que nos voisins puissent profiter de vos textes. Savez vous où en est ce projet ?

Domi : Oui Véronique est venu nous parler de cela à l’occasion du festival de Loreley. Elle a travaillé avec quelqu’un sur un morceau mais depuis je ne sais pas ou cela en est. Mais c’est très délicat et moi j’ai beaucoup de mal parce que c’est plein de métaphores, de jeux de mots, … Cela fonctionne en français et moins bien dans d’autres langues.

Si tu prend « On nous ment comme on respire » c’est une expression française qui ne doit pas exister en Anglais ou en Allemand et qui en plus est détournée. Donc traduit ça peut totalement tomber à plat. Comment traduire « En avant doute » ? On s’en est déjà rendu compte dans le passé. Et plutôt que de traduire on a préféré dire « Ca parle de … ».  Mais même comme cela c’est loin d’être évident. Alors on verra bien comment cela évolue, mais le pire c’est que l’on ne pourra même pas se rendre compte si cela sonne bien ou pas (Rires).

Vincent : Parce que l’on est très fort en Anglais aussi…

Est ce que l’étiquette Rock Progressif n’est pas finalement un frein à la diffusion en France ?

Domi : On n’est peut être pas tous d’accord mais mon sentiment c’est que non parce que le paysage français c’est la variété, style dans laquel nous n’avons rien à faire. Il reste ensuite le Reggae Roots c’est un milieu où l’on ne peut pas être également.  C’est vrai que le Rock Progressif n’est pas reconnu en France mais je ne pense pas qu’avec une autre étiquette notre notoriété serait différente. Ce que l’on aimerait c’est qu’en plus du public Rock Progressif, qui est génial, nous touchions d’autres personnes.

Vincent : En France de tout façon c’est difficile. C’est comme le métal, si tu dis que tu fais du métal on te répond que ca crie, ca hurle. Alors que tout comme le rock progressif c’est super large et du coup il ne faut pas s’arrêter aux aprioris.

Domi : Ce qui est réducteur en France ce ne sont pas les étiquettes mais la façon de diffuser la musique.


 

J’ai fait découvrir Lazuli à plusieurs personnes et ce qui revient souvent c’est « on dirait la voix de William Sheller ». Fait-il parti de tes références musicales ? Quelles sont vos influences musicales à chacun ? 

Domi : J’y ai droit de temps en temps.

Claude : moi il me fait plus penser à Lorie …

(Rires) Domi : Oui cela revient plus souvent (Rires)

Ca doit être pour la danse

Ged : et pour la coupe de cheveux …

Claude : Plus sérieusement, il y a un truc qui est humain c’est que tu te raccroches toujours à ce que tu connais. William Sheller chante un peu haut, à une autre époque c’était Balavoine, à un moment donné cela a même été Christophe.  A un moment il faut arrêter. Domi chante en Français donc tu cherches quelqu’un qui chante aigu en Français et voilà les noms qui sortent.

Domi : Maintenant il doit y avoir aussi des similitudes par rapport aux textes. C’est quelque chose que moi en tout cas je n’arrive pas à voir. Par contre même si j’ai écouté William Sheller, mon adolescence a été bercée par Renaud et on ne peut pas retrouver du Renaud dans ce que j’écris.

Depuis que l’on m ‘a fait cette remarque je trouve que la « Valse à Cent Ans » a cette tonalité. Une rumeur (Monique) m’a laissé entendre que ce texte avait été écrit dans ta jeunesse (…)

Domi : Oui c’est un des plus vieux textes …

Romain :  … de l’histoire la musique (Rires)

C’est un texte d’une grande maturité parlant d’un sujet auquel on ne pense pas forcément à cet âge là.

Domi : Et bien je l’ai écrit vers 18 ans. Je sais pour qui je l’ai écrit et je suis toujours avec cette même fille. Nous nous sommes rencontrés vers 17 ans. Alors je ne sais pas s’il y a un coté William Sheller mais c’est vrai qu’à cette époque là je l’écoutais. Donc il peut y avoir quelques couleurs communes.

 

Quand tu écris c’est parole, musique, les deux à la fois ?

Domi : A cette époque c’était les deux à la fois. Depuis cette nouvelle formation du groupe, j’écris d’abord les textes, il y a plus de collégialité.

 Vincent : Il va arriver souvent avec une ossature harmonique et après on va discuter de ce que l’on garde ou pas, ce que l’on fait évoluer, ...


Justement nous en discutions avec Clive Nolan, il y a quelques mois de cela, et lui nous expliquait au sujet d’Arena, que les musiciens envoyait des idées mais que lui faisait office de filtre. Il ne croit pas à la démocratie dans  la musique et estime qu’à un moment ou à un autre il faut un patron.

Vincent : A la base si nous sommes ensemble c’est parce que nous avons les mêmes influences. On s’entend bien. Et même si Romain et moi sommes un peu plus jeunes (Rires)

Claude : En tout cas ca ne se voit pas

Vincent : Dans le sens où j’écoutais Genesis quand j’avais 13 ans et vous quand vous étiez adulte. Du coup ca va quand même dans le même sens. Il n’y a pas Domi ou Claude qui arrive et qui dit « bon c’est comme ca que tu fais »

Ce n’est pas non plus ce qu’il évoquait. Il disait qu’à un moment ou un autre, il y en a un qui doit prendre le contrôle et trancher !

Domi : Nous ca ne semble pas être le cas. Même si Ged, Cloclo et moi travaillons ensemble au quotidien je n’ai pas l’impression que l’un d’entre nous prenne les décisions finales.

Vincent : Romain et moi, nous avons un travail à coté et eux trois, ils travaillent sur Lazuli vraiment tout le temps. Donc nous venons deux fois par semaine pour faire au mieux.

Vincent tu joues dans un autre groupe en plus

Vincent : Je joue dans un autre groupe mais j’ai surtout un travail de prof au conservatoire du coup cela me prend beaucoup de temps.

Domi : Donc si parfois on pourrait avoir l’impression de prendre les décisions à trois c’est surtout parce que l’on a plus le nez dedans.

Romain : Mais du coup c’est complémentaire aussi, parce qu’eux ils sont ensemble toute la semaine et nous nous apportons un regard extérieur. Du coup cela nous permet parfois d’être plus critique sur le travail et de conserver le fil conducteur.

En terme de formation musicale, il y a des autodidactes dans le groupe et des musiciens plus « professionnels » comme Vincent et Romain ….

Romain : Pourtant ce n’est pas moi qui joue sur scène (Rires)

Dans le DVD tu vois bien la formation musicale classique de Romain et son coté totalement clown qui ne transparait pas forcément toujours sur scène. Il s’est bien lâché sur le DVD.

Domi, Vincent : Ca dépend des fois, tu l’aurais vu il y a trois semaines … (Rires)

Domi : Le DVD relevait plus de la colonie, on s’est vraiment marré.

Claude : Y en a qu’un qui ne rigole pas c’est moi ! Moi j’avais le stress de l’enregistrement.

Domi : Dans Lazuli, le coin technique c’est quand même Clo y compris s’il arrive un truc pendant un concert. On peut l’aider en lui passant un câble mais pas vraiment au delà. Pour le DVD il y avait quand même un gros boulot sur la partie « machines ».

Ged : Enfin bon tu fais pas la gueule non plus c’est resté très sympa.

Domi : Ca ne se voit pas que tu es un gros con sur le DVD (Rires)

Vincent : Y a que les frères qui peuvent se dire cela. Nous on le pense mais on ne peut pas le dire. (Rires)

 

 

Toujours par rapport au DVD. Choisir de faire un DVD Live Studio –qui est une idée géniale- est ce par souci de perfectionnisme pour obtenir un son et une image optimal ?

Domi : Pour l’instant c’est trop difficile de faire un live sur un concert. Le seul que l’on aurait pu faire c’était lors du festival à Loreley.


Les conditions météo ont fait que …

Claude : Mais pas que. Il y a aussi les images. Si tu fais quinze morceaux avec ce genre d’images, à un moment donné il t’en manque.

Domi : Il faudrait que tu sois dans une salle et que tu fasses trois concerts dans cette salle pour sortir effectivement quelque chose qui puisse être dynamique.

Vincent : Je pense que nous avions une idée assez précise de l’image que nous voulions et ce n’était pas forcément réalisable en extérieur en une seule fois avec trois ou quatre caméras.

Domi : Il y a ça et aussi le fait que nous voulions donner un coté de Lazuli méconnu de tous. Ce DVD a été enregistré là où nous travaillons toute l’année. C’est chez nous.

Romain : Notre coté accessible pour les gens aussi, nous voir évoluer comme cela c’était aussi important.

Vincent : oui faire les cons car on est comme ca.

C’est évident que les titres joués avec les cuivres et cordes du conservatoire ou les petits bonus sont des moments qui donnent envie de voir et revoir ce DVD. Il traduit bien la symbiose que l’on ressent également aujourd’hui. C’est mieux qu’une compilation.

Domi : En fait on voulait y mettre un maximum de choses. C’est peut être un peu boulimique aussi mais nous avons beaucoup souffert du DVD précédent où l’on n’a pas du tout eu de droit de regard sur le projet. Nous avions dit non parce qu’il y avait très peu de morceaux et les conditions techniques ne nous plaisaient pas. Il avait également été décidé qu’il n’y aurait pas de bonus et nous étions hyper frustrés. Du coup pour ce DVD cela a été l’overdose et Vincent voulait en mettre des tonnes.(Rires)

Vincent : On filme beaucoup en tournée, tous nos délires. Du coup je dois avoir au moins 2 To de vidéos. Il y avait moyen de faire un bêtisier de 18 heures. (Rires)

Claude : Bêtisier qui risquait de faire rigoler … que nous. (Rires)

Domi : C’est ça en fait !


(NDLR : Non ça aurait fait rire Monique et Jean Michel aussi) Quels sont vos projets ? Y a-t-il un nouvel album à venir ?

Claude : Hum je les aime bien ces questions.

Domi : hum c’est un piège (Rires) … Je ne sais pas.

Romain : On voudrait tourner une K7 vidéo en VHS.

Domi : Oui juste avec Romain dessus. Bon en fait oui, on est en train de bosser sur un nouvel album.

Vincent : On a même plus que commencé.

 

On ne demandera pas de date ce n’est peut être pas la peine ?

Claude : Non on ne vous dira rien !

Vincent et Domi : Ce sera en 2014 mais pas avant mars ou avril.

(Rires) Vincent : J’ai dis pas avant Mars ou Avril cela peut être en décembre (Rires)

Romain : Décembre 2016.

Domi : Il est bien avancé donc on peut dire qu’il y aura un prochain album.

Vincent : Et il va déchirer (Rires)

En relisant les interviews données à Music Waves nous nous sommes rendu compte que vous aviez échappé à deux questions récurrentes …

Domi : Des questions que nous aurions éludés, nous ?


Non cela semble plutôt du fait d’un chroniqueur de complaisance (Rires). Donc la première question c’est justement quelle est celle que l’on vous a trop souvent posé ?

 Claude : Est ce que Romain est homosexuel ? (Rires)

Claude : D’ailleurs si vous voulez des photos …

Romain : Et pour vous ce soir je suis lesbienne.

Domi : Et bien non franchement je ne vois pas. Il y a des questions qui reviennent …

Vincent : … mais elles sont justifiées

Domi : Sur la Léode mais c’est logique parce que c’est quelque chose qui intrigue.

Vincent : Oui il va y avoir des questions sur la technique et son fonctionnement.

Le problème de la Léode c’est que cela oblige à voir Lazuli deux fois. La première fois on ne regarde que la Léode et la seconde fois on se rend compte qu’il y a d’autres musiciens (Rires)

Claude : non au début on voit qu’il y a la Léode et après on s’aperçoit qu’il y a quelqu’un qui en joue (Rires)

Romain tu joues avec le clavier visible pour les spectateurs, pourquoi ?

Romain : En fait cela m’a toujours fait suer d’aller à des concerts où il y a des pianistes et de ne jamais voir leurs doigts.

Claude : Mais au départ ce n’est pas pour une histoire de visuel

Domi : Oui c’est cela qui est génial parce que pour lui c’était frustrant mais c’est nous aussi qui lui avions exprimé parce que l’on trouvait que c’était dommage que les gens ne puissent pas profiter de cela. Et en plus il nous a dit que cette position là est idéale pour les poignets. Donc il a accepté l’idée de faire cela est nous en sommes tous très contents.


Et maintenant quelle est la question que vous voudriez que l’on vous pose ?

Domi : Est ce que Romain est gay ? (Rires)

(Blanc)

Domi : Ok merci (Rires).

(Blanc)

Ca fait souvent cet effet là ...

Domi : C’est régulier ca ? C’est intéressant parce que cela veut dire que l’on n’a pas de frustration à ce niveau là aussi.

Vincent : Oui c’est vrai à chaque interview on se marre !

Domi : Tu vois il n’y a pas une question qui a trop été posée parce qu'à chaque fois c’est différent. Même des aspects politiques nous ont été posé sur certains trucs. Bon on évite un peu aussi mais on nous a posé des tonnes de questions auxquelles on répond sans problème.

Vincent : On peut mettre « Joker » ?

Oui bien sur du coup nous vous laissons le mot de la fin à destination des lecteurs de Musicwaves.

Vincent : C’est toujours un plaisir de jouer on adore être en studio mais tous les cinq nous aimons la scène, partager des choses avec le public et entre nous. Du coup les festivals c’est un repas de choix. On a la chance d’en faire et quand on y rencontre des gens gentils, c’est que du bonheur.

Domi : Tout à l’heure nous parlions de la diffusion de la musique en France. En fait nous avons l’impression de partager et d’exister parce qu’il y a des gens comme les lecteurs de Music Waves qui se déplacent aux concerts et qui nous suivent depuis plusieurs années. On existe grâce à eux. On arrive à une seconde vie ensemble. Venir nous voir c’est le plus cadeau que l’on puisse nous faire.

Vincent : Compte tenu du paysage musical français c’est une chance que nous parvenions à faire ce que l’on aime.

Domi : On survit de notre musique et ça on sait que ce n’est pas le cas de tous les groupes. On sait que c’est un cadeau une vraie chance et on en profite au maximum. C’est pour cela que même quand on tombe en panne avec le camion et que l’on met 20 heures pour faire 700 km, on reste de bonne humeur.


(NDLR : Le groupe est tombé en panne à Lyon en se rendant au festival. Ils ont réussi à trouver in-extremis un camion de location pour réussir à arriver au prix d’un périple de 20 heures de trajet).

Tous : La voilà la question que nous aimerions bien que l’on nous pose :

« Est ce que vous accepteriez que l’on vous offre un camion ? ».

Interview réalisée par Abaddon et Arnaud avec la participation active de Phénoména (photos et travail préparatoire) 


Plus d'informations sur http://www.lazuli-music.com/
 
(2) COMMENTAIRE(S)  
 
 
PHENOMENA
23/11/2013
  1
Ce groupe est absolument génial. Très talentueux dans la musique et aussi dans leurs textes qui sont d'une beauté et d'une intelligence hors normes, ils restent néanmoins très sympathiques, abordables et remplis d'humour. Il n'y a qu'à lire cette excellente interview pour le comprendre !
STATIONROCK
20/11/2013
 
57
2
Très sympat cette interview avec un groupe adorable en plus ! Scéniquement et après quatre concerts, j'en redemande encore et encore, pour moi ils sont les meilleurs de la scène prog française.
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