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TITRE:

H.E.A.T. (03 MARS 2014)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

HARD ROCK MELODIQUE



A l'occasion de la sortie de "Tearing Down the Wall", les membres de H.E.A.T. ont cassé les codes en livrant une chaude interview à Music Waves évoquant Europe, Swedish Idol, ABBA, Scorpions et même Steel Panther les menant sur des pentes savonneuses...
STRUCK - 21.06.2014 -
3 photo(s) - (2) commentaire(s)

Quelle est la question qu’on vous a trop souvent posée ?

Erik Gronwall : La signification de "Tearing Down the Wall".

Eric Rivers : Quel mur essayons-nous de faire tomber. C’est la question qui revient le plus souvent.


J’aurais pensé que les questions auraient tourné autour de Swedish Idol, Eurovision ou Kenny Leckremo.

Eric : Ces questions reviennent de moins en moins. C’était le cas quand Erik a rejoint le groupe mais depuis ça s'est calmé.

Erik : Ce sont surtout les médias suédois qui nous posent ces vieilles questions finalement et je t’avouerais qu’elles me rendent malade (Rires) !



Une autre concerne le nom du groupe H.E.A.T. nous avons essayé de trouver la signification en vain…


Eric : “Hey Everybody Asks That” (Rires) ! C’est amusant mais ce n’est pas la vraie signification.


Et alors quelle est-elle ?

Eric : Je suppose que c’est une bonne chose quand les gens spéculent ainsi : tout le monde nous le demande (Rires) mais nous voulons garder ce secret encore un peu plus longtemps.

Erik : C’est toujours bien d’avoir quelque chose à dire (Rires) !


Mais vous avez d’autres choses à raconter non ?

Erik : Nous avons tous les jours des suggestions des fans comme "Hey Everobody Asks That" qui sont bien meilleures que le nom original, c’est pourquoi je ne suis pas certain que nous révélions un jour la vraie signification (Sourire) !


Votre actu est le quatrième album de H.E.A.T. Quelle est le sens caché de cette pochette post-apocalyptique ?

Erik : Elle traite des limites mentales que tu t’imposes et cet album "Tearing Down the Walls" parle de les faire tomber. Si nous devions résumer cet album en une phrase, ce serait : "Etre libre".


En clair, le message de même que ce visuel où les membres de H.E.A.T. n’ont pas de chaîne est que vous indiquez la marche à suivre aux personnes enchaînées derrière vous.


Erik : Exactement ! Les personnes en arrière plan représentent nos restrictions mentales et nous les dirigeons vers la liberté.

Eric : Le message est également de montrer que lorsque l'on se réunit à plusieurs, les choses deviennent plus faciles. Dans un groupe, nous nous entre-aidons notamment dans les moments de dépression, il faut tenir compte des autres.


Est-ce le même artiste qui a fait le visuel de l’album éponyme ?


Eric : Non


On peut malgré tout se demander si pendant le voyage en avion envisagé sur "H.E.A.T.", il y a eu une attaque apocalyptique…


Eric : Oui, on peut se demander si la ville n’est pas en destruction à cause de l’accident d’avion que nous avons pris sur "H.E.A.T." (Rires) ! Et Kenny a succombé à cet accident (Rires) !


Est-ce une intention délibérée de revenir à un visuel dessiné alors que vous aviez changé de style de pochette sur les deuxième et troisième album ?


Eric : Je ne sais pas. J’ai toujours considéré que si les membres du groupe étaient représentés sur la pochette, ils devaient être dessinés. Je ne suis pas fan de ces pochettes où tu vois une photo de tous les membres. Je considère que le dessin donne un aspect plus intéressant, plus artistique…

Erik : Et de façon paradoxale, la pochette semble plus vivante.


Dans ce sens, une telle pochette entraîne plus de questions notamment sur l’idée d’un concept.

Erik : C’est plus un thème qu’un vrai concept.



Comment avez-vous choisi le premier single 'A Shot at Redemption' ?

Erik : Nous voulions une sorte d’hymne pour ouvrir cet album et un titre qui soit différent de ce que nous avions l’habitude de faire. Cette chanson a clairement tous ces ingrédients.

Eric : C’était important de proposer un titre qui ne soit pas un classique de H.E.A.T. afin que les gens ne sachent pas vraiment quoi attendre de cet album. Ce single a pour but d’attiser leur curiosité.


Un peu à l’image de ce visuel et de ce titre d’album, vous voulez définitivement casser les codes.

Erik : Tu as parfaitement résumé notre intention, bravo (Sourire) !


Qu'avez-vous recherché avec la longue introduction quelque peu redondante de plus d'une minute sur le premier titre de leur album ?

Erik : Nous avons toujours voulu améliorer nos concerts et dans cette optique, il faut avoir une bonne introduction et cette partie symphonique est parfaite.


Vous avez donc composé ce titre et cette intro dans une optique live sachant qu'il ouvrirait vos concerts ?


Erik : Tout à fait ! De façon générale, nous avons plus que jamais voulu écrire un album taillé pour la scène : ce visuel, cette introduction, ces chansons…


Connaissez-vous l'entrée en matière, dans l'esprit un peu similaire, de l'album d'UFO de 1980 "No Place To Run" avec la paire 'Alpha Centauri'/'Lettin' Go' ?

Erik : Non, non, je connais le groupe mais nous n’avons pas composé ce titre dans cette optique.

Eric : De façon générale, j’aime ces types d’intro qui te plongent dans une certaine humeur et tu ne sais pas à quelle sauce tu vas être mangé. Metallica était bon dans ce genre d’exercice, avec ces intros à la Morricone et tu ne savais à quoi t’attendre par la suite : ça donne un impact certain à la chanson !


C’était d’autant plus intéressant que le style hard mélodique/ A.O.R. dans lequel vous œuvrez n’est pas connu pour surprendre son public…

Erik : C’est vrai !


Encore une fois, vous vouliez casser les codes…

Eric : Tout à fait !

Erik : Nous ne voulons pas nous restreindre dans un genre en particulier. Nous ne sommes pas le genre de personnes à n’écouter que du Bon Jovi ou des albums des années 1980 à longueur de temps : c’est la raison pour laquelle je pense que cet album sonne plus moderne ! Nous ne voulons pas d’étiquette, nous jouons ce que nous aimons jouer !


Qu’attendez-vous de cet album ?

Erik : Plus de gros concerts…


Dorénavant avec une super intro…

Erik : (Rires) Oui ! Je souhaite être plus souvent sur la route pour jouer plus de concerts.


Et combien de concerts faîtes-vous par an ?

Eric : C’est toujours difficile de répondre mais environ 100 par an.


Et vous voulez en faire plus ?


Eric : Oui, 200 (Rires) !


Et n’avez-vous pas peur de mettre à mal votre équilibre familial notamment ?


Eric : Non ! Notre famille, c’est le groupe (Sourire) ! Nous sommes encore jeunes, on s’y intéressera lorsqu’on aura 50 ans pour se caser avec de jeunes filles (Rires) !


N’est-ce pas trop compliqué de se faire une place dans ce genre musical en Suède connu pour ses groupes comme Europe, Treat… ?

Erik : Tu as raison !


Est-ce aussi une des raisons pour lesquelles vous essayez de sortir du lot ?


Eric : J’ai toujours pensé que nous avions notre propre identité mais quand tu viens de Suède et que tu joues ce genre de musique, c’est évident que tu seras toujours comparé à Europe, Treat et tous ces groupes… Je pense que nous essayons de nous servir de cela autant que possible : nous avons les mêmes fans. C’est une chose plutôt positive finalement !

Erik : Nous ne recherchons pas à être comparé à qui que ce soit mais la publicité incitera toujours les fans de ces groupes à nous écouter.


Ce genre de comparaisons est intéressante en début de carrière pour se créer une base de fans mais il faut s’en détacher progressivement et le fait de vouloir casser les codes dans cet album est d’autant plus compréhensible.

Eric : Exactement ! Nous ne voulons pas les copier, seulement nous en inspirer.


De façon générale, comment expliquez-vous le nombre de groupes hard mélodique en Suède ?

Erik : Je pense que tout ça vient d’ABBA ! Ce n’est pas une question de style musical mais en termes de composition, les mélodies sont toutes inspirées d’ABBA. Cette époque nous a tous influencé et je ne connais aucun pays qui ne connaît pas ABBA.

Eric : Et la mentalité suédoise est de dire "Si ABBA a pu le faire, tout le monde peut le faire !". De plus, en Suède, nous apprenons à jouer de la musique très tôt notamment à l’école et il est très facile de louer des instruments…

Erik : … si bien que c’est très facile de créer un groupe et jouer avec ses amis.


Mais pourquoi le hard mélodique particulièrement, on a cité Europe, Treat et maintenant H.E.A.T. …


Erik : Je pense que l’essentiel vient d’Europe qui est le plus gros groupe de rock suédois.

Eric : Ils ont créé de superbes mélodiques entêtantes qui sont très pop !


Question au lauréat de Swedish Idol, as-tu des recommandations à faire aux français pour que nous ayons enfin un vainqueur avec des influences hard rock ?

Erik : (Rires) ! Je n’ai aucune recommandation ! Encore une fois, nous venons de Suède un pays qui aime vraiment le rock’n’roll : on ne peut rien y faire !

Eric : Il faut trouver quelqu’un qui ouvrira la voie.

Erik : Oui, écoutez H.E.A.T. et vous aurez plus de fans de hard rock (Rires) !


Vous avez assuré la première partie de groupes aux styles radicalement opposés comme Toto, Edguy, Sabbaton, Alice Cooper… N’est-ce pas compliqué pour un groupe de hard mélodique de faire la première partie de groupes comme Edguy par exemple ? Comment avez-vous été accueillis ?

Erik : Nos premières parties ont vraiment bien marché ! Musicalement, la différence entre Edguy et nous n’est pas si énorme que ça si tu y regardes bien : il y a des grosses guitares, de bonnes mélodies, des chœurs où tout le monde peut chanter… nos prestations sont des fêtes ! Sachant que sur scène, nous sommes plus hard rock que jamais.

Je pense qu’une première partie doit être un peu différente de la tête d’affiche. Quand nous tournerons en tête d’affiche, notre première partie ne fera pas exactement la même musique que nous. Ca sera un peu différent, histoire de montrer que ce n’est pas juste un clone basique.


Avez-vous malgré tout changé vos set-lists des concerts pour Toto ou Edguy ?


Eric : Non, nous jouons les mêmes chansons !

Erik : En revanche, on peut changer l’ordre. Nous allons jouer 40 minutes en première partie de Scorpions à Madrid vendredi prochain : nous allons choisir les titres soigneusement avec notamment en tête la volonté de mettre un maximum d’énergie. Ce sera un concert de 9 ou 10 chansons sans aucune balade…


… Aucune balade pourtant Scorpions est connu pour en avoir composé un paquet ?


Eric : Peut-être 'Downtown' qui est une balade assez puissante…


Mais vous n’avez pas encore décidé les titres que vous allez jouer ?


Erik : Si mais pas encore l’ordre.


On a cité pas mal de groupes dont vous avez assuré la première partie. A quel groupe aimeriez-vous être comparés ?

Erik : C’est une question difficile mais j’aimerais dire Queen !


Ce qui n’est pas une surprise quand tu sais que tu t’es fait connaître en reprenant du Queen…

Erik : Queen est un super groupe live avec un formidable frontman et des titres très variés…

Eric : … qui vont de l’opéra au rockabilly !

Erik : J’aime beaucoup cette caractéristique et je pense qu’il y a un peu de ça dans cet album : « Old the Light » qui est une ballade très lente sans production juste piano/ voix…


Et toi ?

Eric : J’ai toujours adoré les Foo Fighters : c’est un groupe que la majorité des gens aime et pas seulement les amateurs de hard rock ! C’est ce que j’aimerais réussir à faire : que les gens nous aiment pour nos chansons et pas seulement les fans de hard rock !


Si vous deviez choisir un album de hard par décennie de 1980 à 2000, lesquels choisiriez-vous ?


Erik : On peut même commencer par la décennie 1970 (Rires) !

Eric : Un album de Deep Purple !

Erik : Je dirais "A Nigth at the Opera" de Queen même si Led Zeppelin a sorti de supers albums. Pour la décennie suivante, Bon Jovi "Slippery When Wet" qui est un album festif !

Eric : Mais est-ce un album qui nous a le plus influencé ?

Erik : Je pense aussi à "Master of Puppets" de Metallica même si le meilleur album des années 1980 est sans conteste "Thriller". Ca peut paraître cliché de citer l’album le plus vendu mais c’est difficile de passer à côté !

Eric : Pour la décennie 1990, je citerais un album de Pantera.

Erik : J’aurais également cité Alice in Chains…

Eric : … oui mais "Cowboys from Hell" de Pantera est un incontournable.

Erik : C’est compliqué parce que les années 1990 ont vu pas mal de groupes comme Rage Against the Machine… Et pour les années 2000, que s’est-il passé pendant ces années ? Il n’y a pas eu tant de groupes de rock pendant ces années : on ne peut pas dire que 'La Macarena' soit rock (Rires) ! Mais tu as cité les Foo Fighters tout à l’heure, c’est une très bonne réponse !


Cette difficulté à citer un groupe marquant des années 2000 tend-elle à prouver que cette période musicale est finalement pauvre ?

Erik : C’était le cas au début des années 2000 mais la vie est un cercle et j’estime que la scène musicale est aujourd’hui plus enthousiasmante.


Pensez-vous que trop de sorties d’albums hard mélodique tuent le genre en affichant parfois une certaine manque d’originalité ?

Erik : Je pense que c’est la bonne époque pour ce genre musical !

Eric : Et c’est de plus en plus le cas : tous les groupes de la grande époque reviennent comme Journey, Van Halen… qui font à nouveau des tournées !


Appréciez-vous l'AOR West Coast dépourvu de grosses guitares ?


Eric : Et bien, je dois te dire la vérité : je ne m’intéresse pas vraiment à l’A.O.R. (Rires) ! Bien sûr, j’écoute ce style et je l’apprécie mais ce n’est pas le style de rock que je préfère : je suis plus fan de hard rock ! Mais de façon générale, j’aime tout type de musique : l’A.O.R. West Coast est juste un des genres que j’écoute parmi d’autres comme le hip-hop, la country…

On a été affilié au genre A.O.R. - un peu trop souvent selon moi - j’estime que nous sommes un groupe de hard rock et quand nous avons commencé à jouer, nous n’avions aucune idée de ce qu’était l’A.O.R. (Rires) !


Question traditionnelle du site, quel est votre meilleur souvenir d’artiste ?


Erik : Je dirais la tournée européenne l’année dernière. C’était ma première tournée européenne, c’était la première fois que je jouais hors de Suède et c’était après la Swedish Idol…

Eric : Le Firefest un festival en Angleterre en Octobre 2013. Nous avons joué devant 2.500 personnes et au moment de monter sur scène, tout le monde scandait notre nom !

Erik : C’était comparable à Madrid où le public entonnait des "Olé" et ça te donne de bonnes vibrations (Sourire) !

Eric : Quand le public te soutient ainsi et te transmet son énergie, ce sont des sensations extraordinaires ! C’était le cas au Firefest et j’espère que ce sera également le cas lors notre première partie de Scorpions vendredi…


Tout dépendra du choix de votre set-list…


Erik : Absolument (Rires) !


On a évoqué le meilleur souvenir, au contraire, quel serait le pire ?

Eric : Aller en Chine (Rires) !

Erik : Voyager en Chine est désagréable au possible !

Eric : Pour un musicien, voyager peut être amusant mais seulement quelques jours. C’est vraiment fatiguant : tu te lèves tôt… Dans le cas de la Chine, nous avons fait 10 villes en 12 jours et chaque ville était séparée de 700 kilomètres à faire en une journée.


Malgré tout, c’est un passage obligé quand on connaît l’importance du marché asiatique, on sait notamment que votre deuxième album a fait l’objet d’une édition limitée pour ce marché.

Erik : C’est clair ! Attention, nous adorons aller là-bas !

Eric : C’est juste que quand tu as un concert à minuit, que tu te couches à 4 heures puis que tu te lèves à 7 heures avec 3 heures de sommeil, un peu alcoolisé (Rires)…
C’est vraiment cette partie de sommeil manquant qui est désagréable. En revanche, quand tu es sur scène, tu oublies tout !


Est-ce une des explications de la légende du musicien drogué pour tenir le coup ?

Erik : Effectivement, j’ai fait le rapprochement et après avoir vécu cela, je peux comprendre ceux qui commencent à prendre de la drogue dans le business musical (Rires) !

Eric : A l’époque, ils n’avaient de portable ! Aujourd’hui, on peut regarder la télé pendant le voyage. A l’époque, ils n’avaient rien, il fallait bien s’occuper (Rires) !

Erik : En ce qui nous concerne, cette expérience a un peu été comme le service militaire : il nous a fallu être tout le temps un peu alcoolisé pour le tenir le coup (Rires) !



On a commencé cette interview par la question qu’on vous a trop souvent posée, au contraire quelle est celle que vous souhaiteriez que je vous pose ?

Eric : "Sommes-nous plutôt un groupe branché nichons ou culs ?". Je dirais que nous sommes plutôt axés cul (Rires).

Erik : Non, tu ne peux pas dire ça ! J’aime les nichons, tout le monde aime les nichons (Rires) !


Oh, les gars de Steel Panther sortez de ces corps, nous sommes en interview de H.E.A.T.

H.E.A.T. : (Rires)


Avant de se quitter, un dernier mot aux lecteurs de Music Waves et peut-être en français ?


Erik: En français ? C’est pour toi !

Eric : Ok, Chardonay, Bordeaux… (Rires) ! Non, je ne sais pas parler français.

Erik : Nous souhaitons venir plus souvent jouer en France afin d’apprendre à parler français (Sourire) ! Si vous avez aimé l’album, vous adorerez nos concerts. En revanche, si vous n’aimez pas l’album, peut-être que vous aimerez nos concerts… Il faut nous voir de toutes façons (Rires) même si aucune date n’est officielle à ce jour, nous y travaillons !


Merci beaucoup


H.E.A.T. : Merci


Merci à Lynott pour sa contribution...


Plus d'informations sur https://www.facebook.com/heatsweden
 
(2) COMMENTAIRE(S)  
 
 
LYNOTT
13/05/2014
  0
Elle est bien ton interview mon gars, y'avait d'la joie dans l'air on dirait !
METALNATURE
13/05/2014
  0
Cool! Merci Struck!
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