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CHEAP TRICK

- 1973
PAYS:
ETATS UNIS
GENRE:
ROCK
GROUPES SIMILAIRES:
HOTCAKES, THE MOVE, THE WHO, ELECTRIC LIGHT ORCHESTRA, THE BEATLES


Cheap Trick est un groupe de Hard Rock Américain formé en 1973 à Rockford, Illinois (près de Chicago) composé de Robin Zander au chant et à la guitare rythmique, Rick Nielsen à la lead guitare, Tom Petersson à la basse, et Bun E. Carlos à la batterie qui connut un succès très important à la fin des années 70, particulièrement au Japon et qui obtint son plus grand succès avec l’album live "Cheap Trick at Budokan" en 1979.

Il est souvent décrit musicalement comme un mélange de mélodies pop d'influence Beatles et de guitares hard-rock. Il est officiellement toujours en activité. Cheap Trick s'est créé un noyau de fidèles grâce à des disques tranchant avec un son pop mélodique dans un style proche des Beatles marié avec la vitesse et l'énergie du Rock.

Le groupe continue aujourd'hui de tourner dans son line up original. Le groupe est plus populaire au Japon, où ils demeurent des superstars depuis leur tout premier album. La presse Japonaise les a souvent baptisés les "Beatles Américains".

A l'origine, le groupe se compose des trois quarts du groupe Fuse.

En 1969, le groupe adopte le nom de Sick Man of Europe.

En 1974, Rick Nielsen, Tom Petersson, et Bun E. Carlos remplace le chanteur Randy "Xeno" Hogan par Robin Zander. Le groupe est alors rebaptisé Cheap Trick.

Cheap Trick joue autour de Rockford, dans le sud du Wisconsin, et dans la région de Chicago, ils ont développé tout un spectacle. Tom Werman, l'homme d'Epic Records A & R a signé le groupe sur la recommandation du producteur Jack Douglas, bien connu pour son travail avec Aerosmith.
Entre 1975 et 1977, le groupe multiplie les apparitions sur scène et donne plus de 200 représentations par année.

Leur premier album "Cheap Trick", produit par Douglas, est publié en Février 1977. Alors que l'album reçoit beaucoup de bons avis de la critique, il ne se vend pas à de nombreux exemplaires. Un simple a été publié, "Oh, Candy", mais il ne rentre pas dans les Charts.

Ils ont souvent fait l'ouverture pour The Kinks, Boston, Santana, Kiss, Queen et bien d'autres, et ils tournent constamment, jouant parfois jusqu'à environ 250 concerts par an.

L'album suivant, "In Color", est sorti plus tard dans l'année, et il comporte certaines chansons connues comme "Big Eyes", "Downed", "Clock Strikes Ten" et "Come On, Come On". L'album affiche également le début de "I Want You Want Me", qui avait déjà été enregistré pour le premier album, mais il n'a pas été retenu pour le pressage final, et le producteur Tom Werman a retravaillé la chanson avec un piano honkey-tonk, à la grande consternation du groupe. L'album se vend un peu mieux que le premier LP, et "I Want You Want Me", "Southern Girls" et "So Good To See You" ont été publiés en simples mais n'atteignent pas non plus les Charts.

Le groupe s'est souvent plaint du style de production de l'album, car le producteur Tom Werman essaie de mettre en évidence leur côté léger et pop.

Alors que l'album ne marche pas particulièrement bien aux États-Unis, ils deviennent des superstars au Japon, où l'album est disque d'or et le simple "Clock Strikes Ten" devient numéro un.

"Heaven Tonight", également produit par Tom Werman, sort en 1978.
Werman trouve la touche parfaite cette fois-ci, combinant les éléments des deux précédents albums pour produire un ensemble rempli de puissantes perles pop qui est non seulement l'album studio définitif du groupe, mais aussi quelque chose comme un classique du genre.

Tom Petersson passe à ce moment-là à la basse 12 cordes guitare, ce qui fait que "Heaven Tonight" le premier album jamais enregistré avec cet instrument. L'hymne pour adolescents "Surrender", l'une des marques de fabrique de Cheap Trick, sort en tant que premier simple tiré de l'album et est le premier simple du groupe à atteindre les Charts aux Etats-Unis, avec une percée jusqu'à la place 62. L'album de plus met en vedette les plus connues des chansons, comme le deuxième simple, "California Man", une reprise de The Move ainsi que "High Roller" et "Auf Wiedersehen". Il devient leur premier disque d'or aux Etats-Unis et par là même cimente définitivement leur statut de superstar au Japon.

Aucun des trois premiers albums de Cheap Trick n'apparait dans le Top 40 aux États-Unis. Pourtant, au Japon, tous les trois sont certifiés disques d'or.

Lorsque Cheap Trick est allé au Japon en tournée pour la première fois, en 1978, ils ont été reçus avec une frénésie qui rappelle la Beatlemania. Au cours de celle-ci, en Avril 1978, Cheap Trick a enregistré un spectacle pour ses fidèles fans japonais au Nippon Budokan. Le show est publié comme un album live intitulé "Cheap Trick at Budokan", qui est destiné exclusivement au Japon. L'album devient soudainement populaire en raison des importations aux États-Unis, et la demande de l'album devient si grande que finalement Epic Records décide de publier l'album aux États-Unis en 1979.

"Cheap Trick at Budokan" lance le groupe dans la célébrité internationale, et l'album devient triple disque de platine aux États-Unis. Ce succès est suivi par la version live de "I Want You to Want Me", qui avait initialement été publié sur In Color. Il atteint le numéro 7 au Billboard Hot 100, et devient la plus grande vente de simples pour Cheap Trick. Le deuxième simple, "Ain't That A Shame", ne culmine qu'à la place 35.

La chanson "Need Your Love" avait déjà été enregistrée pour le prochain album studio, "Dream Police", qui est publié un plus tard en 1979. Le morceau titre de l'album est un Hit, comme l'est "Voices", mais le travail est fustigé par la critique qui exprime sa préoccupation au sujet d'une apparente diminution de la qualité des morceaux. "Dream police" nous montre le groupe dans une direction plus expérimentale en intégrant des cordes et flirtant avec le Heavy Metal sur des titres comme "Gonna Raise Hell".

En 1980, alors que "All Shook Up" sort, Cheap Trick est tête d'affiche un peu partout. Le LP, réalisé par l'ancien producteur des Beatles, George Martin atteint la place 24 dans les Charts et est certifié or, mais il gène de nombreux fans car trop bizarre et expérimental. Un morceau des sessions de "All Shook Up", "Everything Works If You Let It", apparait sur la bande originale de "Roadie" et Nielsen et Carlos participent aux sessions de John Lennon et Yoko Ono pour l'album "Double Fantasy".

Peu après la sortie du disque, Petersson part et forme un groupe en compagnie de sa femme Dagmar.

Le EP "Found All The Parts" a également été publié en 1980 composé de matériel inédit, avec même une fausse reprise en live du "Day Tripper" des Beatles. Pete Comita remplace Petersson pour la tournée de "All Shook Up" et le groupe enregistre cinq morceaux avec Comita afin de contribuer à la bande originale de deux films.

"I'm The Man," "Born To Raise Hell," et "Ohm Sweet Ohm", produits par Jack Douglas, étaient réservés au film Rock And Rule". "Reach Out" et "I Must Be Dreamin '" produits par Roy Thomas Baker l'étaient pour le film "Heavy Metal"et Bob James.

Comita quitte le groupe après seulement quelques mois, au cours de la pré-production du prochain album du groupe. Jon Brant devient le remplacement régulier de Petersson.

En Juillet 1981, CBS Inc poursuit Cheap Trick et son manager Ken Adamany pour 10 millions de dollars, alléguant qu'ils tentaient de contraindre CBS de renégocier leur contrat et refusaient d'enregistrer tout nouveau matériel pour le label depuis Octobre 1980. Cela a été réglé au début de l'année 1982 et le travail recommence pour le prochain album "One on One", produit par Roy Thomas Baker. L'album donne naissance à deux petits Hits, "If You Want My Love" et "She's Tight". Les vidéos musicales de ces deux chansons passent alors énormément sur MTV. Le disque se retrouve rapidement certifié platine.

L'année suivante, 1983, Cheap Trick sort "Next Position Please" avec Todd Rundgren en tant que producteur. Rundgren minimalise le côté dur du groupe et leur peaufine un son plus propre, plus orienté pop, similaire par bien des points à celui de "In Color". L'album ne marche pas beaucoup et la fortune commerciale de Cheap Trick amorce un réel déclin. L’opus n’atteint que la 132e position du Billboard 200. Le premier simple est une reprise de "Dancing The Night Away" de The Motors.

Epic Records, désespéré du manque de Hit du groupe, le force à enregistrer ce morceau. Rundgren refuse alors de produire la chanson, et, en désespoir de cause, il est donc produit par Ian Taylor. Il n'atteint pourtant pas les Charts, ainsi que le deuxième simple "I Can't Take It", celui-ci un des morceaux favoris des fans du groupe.

"Spring Break", produit par Ian Taylor, une contribution sonore du groupe à la comédie filmographique du même nom en 1983, a également été publié comme un simple, mais ce morceau ne réussit pas à percer dans les Charts.

En 1984, le groupe enregistre le morceau titre pour la comédie de Tim Matheson "Up The Creek", que Neilsen appellera plus tard "l'une des pires chansons qu'il ait jamais écrites". Cette chanson atteint la place 36 du Billboard Top Tracks, mais en sort au bout de deux semaines.

En 1985, ils sont réunis par Jack Douglas, le producteur de leur premier album, pour la réalisation d'un nouveau LP "Standing on the Edge". Le groupe à l'origine voulait faire un retour à ses racines pour cet album, mais Douglas appuya le processus de mixage à cause de questions juridiques qu'il avait alors avec Yoko Ono à ce moment-là. Ce mixage, fait par Tony Platt rajoute malheureusement plus d'éléments de production typiques des années 1980.

Cet album a été appelé leur "best collection of bubblegum bazooka rock in years." Il met également en vedette Mark Radice sur les claviers, et il a même également été mobilisé pour aider dans le processus d'écriture des chansons. Le premier simple, tiré de ce LP, "Tonight It's You", atteint la place 8 au Billboard Top Rock Tracks Chart et la vidéo passe souvent sur MTV, mais les simples suivants "Little Sister" et "How About You" ne grimpe pas dans les Charts.

En 1986, le groupe enregistre "Mighty Wings", le morceau de fin pour le film "Top Gun".

Ils sortent ensuite "The Doctor", qui s'est avéré être le dernier album avec Brant le bassiste. Certaines des chansons contiennent des éléments de funk, et le groupe utilise pour la première fois des femmes en back-up vocal. Malheureusement, les synthétiseurs et les effets sonores des programmes informatiques noient la plupart des instruments importants, surtout la guitare. Produit par Tony Platt, il est largement considéré comme le pire album du groupe. Le seul simple tiré de l'album, "It's Only Love" n'atteint pas les Charts, mais beaucoup rejettent la faute du peu de succès sur le manque de promotion de l'album sur le label.

Petersson rejoint le groupe en 1987, et aide à la réalisation du disque de 1988 intitulé "Lap of Luxury", produite par Ritchie Zito.

En raison de son déclin commercial, Epic Records force le groupe à collaborer avec d'autres auteurs-compositeurs professionnels. "The Flame", une ballade typique des années 80 a été publiée comme premier simple et devient leur tout premier numéro 1 dans les Charts. Le deuxième simple, une reprise du "Don't Be Cruel" d'Elvis Presley atteint également le top 10. Trois autres simples tirés de l'album sortent par la suite: "Ghost Town", "Never Had A Lot To Lose", et "Let Go". Chacun obtient beaucoup de succès et monte dans les Charts, et "Lap of Luxury" devient disque de platine et est marque le grand retour de Cheap Trick.

"Busted" est publié en 1990 et est également produit par Ritchie Zito, que le groupe a tenté de capitaliser sur le succès de "Lap of Luxury". Cette fois, cependant, le groupe est autorisé à plus de créativité et les auteurs professionnels n'ont été utilisés que sur une poignée de chansons. Le premier simple "Can't Stop Falling Into Love" atteint le num'ro 12 dans les Charts, mais ne réussit pas à atteindre le plus haut comme espéré. Le deuxième simple, "Wherever Would I Be" que Diane Warren a écrit subit un sort bien pire pour ne parvenir qu'à la place 50. Les simples suivants, "If You Need Me" et "Back N 'Blue" n'ont pas été couronnée de succès, alors que le simple d'après atteint la place 32 sur les États-Unis Mainstream Rock Charts.

Au cours des années 1990, le groupe a connu plusieurs nouveaux bas quand Sony Music, le successeur de CBS Records avec son contrat, sort plusieurs compilations de Cheap Trick, reprenant "Voices", "I Want You To Want Me", "Don't Be Cruel", et plusieurs autres sans accord préalable ni, bien entendu aucun consentement.

En 1993 sort "Budokan II". Il met en vedette les morceaux qui avaient été mis de côté pour l'album live original, ainsi que trois autres morceaux de la tournée qui avait suivi en 1979. Sa sortie n'a pas été autorisée par le groupe, et il est maintenant épuisé.

Cette même année, Robin Zander sorti son premier disque en solo "Robin Zander" sur Interscope, produit par Jimmy Iovine. Le guitariste Mike Campbell, plus connu pour son travail avec Tom Petty And The Heartbreakers, collabore avec Zander sur la plupart des morceaux de l'album. L'album a en grande partie échoué, mais le simple "I've Always Got You" atteint la place 13 dans les US Mainstream Rock Charts.

Le groupe quitte Epic après les résultats décevants des ventes de "Busted" pour signer avec Warner Bros Records.

En 1994, le groupe sort "Woke Up With A Monster", qui est produit par le légendaire producteur Ted Templeman. Le morceau titre de l'album, publié comme premier simple, atteint la place 16 dans les US Mainstream Rock Charts. Les ventes de l'album sont pauvres, et il ne culmine seulement qu'à la place 123. Au moment où l'album sort, il y a une série de changements importants aussi bien dans la musique que dans l'apparence sage du groupe. Le style de musique tire plus sur le côté "grunge", en raison de la main plutôt lourde très critiquée du producteur Ted Templeman.

Le groupe contribue également à une reprise de la chanson "Cold Turkey' de John Lennon sur l'album "Working Class Hero: A Tribute to John Lennon".

Le groupe prend rapidement ses marques avec Warner Bros et décide qu'il est temps de revenir à l'essentiel.

Ils se concentrent notamment sur la force de leurs spectacles, qui sont on ne peut plus légendaires, et ils décident de sortir de nouveaux enregistrements sur des labels indépendants au lieu des "major companies".

Au cours des années suivantes, Cheap Trick tourne avec plusieurs groupes qui ont été influencé par eux, tels que The Stone Temple Pilots et Pearl Jam.

En 1996, le groupe publie de façon indépendante "Gift", un double CD de Noël au profit des organismes de bienfaisance de la région de Chicago. Ils sortent aussi le simple en vinyle 7 pouces "Baby Talk/ Brontosaurus" sur le label indie Sub Pop Records de Seattle. Cette même année, Epic Records publie "Sex, America, Cheap Trick", un coffret de quatre disques qui comprend des dizaines de morceaux rares et inédits en studio et en live avec quelques-uns des simples favoris du groupe. La collection, cependant, est critiquée pour le fait qu'il manque plusieurs des plus connues des chansons.

En 1997, Cheap Trick signe avec le label indie Red Ant Records et sort "Cheap Trick", produit par Ian Taylor, qui avait déjà travaillé avec le groupe en 1983. Le groupe tente de se ré-introduire à une nouvelle génération, ainsi, l'album auto-intitulé et l'œuvre enregistrée est semblable à leur premier album qui était sorti vingt ans plus tôt. Onze semaines après cette sortie, la société mère de Red Ant, Alliance Entertainment Corporation déclare faillite et l'avenir du label demeure incertain. Alors que l'album est encensé par la critique, le simple "Say Goodbye" n'atteint que la place 119 dans les Charts.

Cheap Trick commence alors à se reconstruire en 1998 en essayant de rétablir des relations normales avec Sony / Epic, et ils créent leur propre compagnie de disques, Cheap Trick Unlimited. Ils tournent pour la promotion de la re-re-masterisation des inédits de "Budokan: The Complete Concert", et de leurs trois premiers disques. L'une de ces multi-nuits de folie se retrouve dans Music for Hangovers, un dynamique effort live qui comprend les membres de The Smashing Pumpkins sur deux morceaux.

Au milieu de beaucoup de critiques, Cheap Trick Unlimited vend le CD exclusivement sur Amazon.com pendant huit semaines avant de le mettre en vente dans les magasins. Pour appuyer le disque en tournée, ils sont accompagnés par Guided By Voices, et jouent également un concert avec Pearl Jam. Cette même année, le groupe passe du temps en studio d'enregistrement avec Steve Albini, qui avait produit le simple "Baby Talk/ Brontosaurus".

Le groupe commence alors à ré-enregistrer leur deuxième album, "In Color", ainsi que d'une poignée d'autres divers morceaux. Les enregistrements ne sont pas finis et n'ont pas encore été publié officiellement, mais ils l'ont été malgré tout sur Internet. Le groupe a également révélé dans une interview que cet album de raretés était en cours et initialement prévu en début de l'année 2000. Toutefois, il n'a jamais été publié.

En 1999, le groupe enregistre une reprise de "In the Street" de Big Star pour servir de chanson thème pour le show télévisé That 70's Show. Elle est publiée sur la bande sonore du spectacle, That'70s Album (Rockin').
Au début de 2000, Cheap Trick prend une licence auprès de la maintenant défunte Musicmaker.com pour télécharger directement et créer des CD parmi plus de cinquante chansons.

En 2001, le quatuor lance un disque double intitulé "Silver" marquant ses 25 ans de carrière.

Après avoir passé une bonne partie de l'année 2001 à écrire des chansons et environ six semaines de pré-production, Cheap Trick rentre aux Bearsville Studios à Woodstock, New York en Mars 2002, où il peaufine son premier album studio depuis six ans, "Special One" en Mai 2003. Dans le même temps, le groupe transforme son label en Big3 Entertainment. Bien que le simple "Scent of A Woman" sonne typiquement Cheap Trick, la plupart des morceaux de l'album s'avèrent plus acoustiques.

Le groupe contribue également à une nouvelle version enregistrée de "Surrender" pour le film comédie "Daddy Day Care".

Ils tournent avec Cake pour le Unlimited Sunshine Tour la même année.
En avril 2005, Cheap Trick publie les cinq morceaux de "Sessions @ AOL PE" pour le téléchargement numérique.

En 2006, le groupe sort "Rockford" sur Unlimited/Big3 Cheap Trick Records. Le premier simple de l'album est "Perfect Stranger" (produit par Linda Perry et co-écrit par Cheap Trick et Perry). Le groupe fait la promotion de l'album par le biais d'apparitions sur le réseau de Sirius et XM radio satellite et une tournée Nord-Américaine. Cette même année, "Surrender" est présenté comme un morceau jouable dans le jeu vidéo "Guitar Hero II", et les albums "Dream Police" et "All Shook Upé sont republiés en forme remasterisés avec bonus, alors que "One On One" et "Next Position Please" (La version approuvée) sortent en tant que téléchargements numériques.

En 2008, Cheap Trick est retourne à l’aréna Budokan afin de fêter le 30e anniversaire de son célèbre spectacle.
En 2009 sort "Te Latest"…le dernier ?



Plus d'informations sur http://www.cheaptrick.com/


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