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Grosse déception pour ce retour inutile du chant growl, qui ne sert pas l'oeuvre.
Le growl est la plus nulle des soit disant créations....pourquoi l'invite dans la musique métal prog....
En son temps Pink Floyd ne l'a utilisé , intelligemment, qu'une seul fois pour finir le merveilleux morceau "Careful with that axe Eugène"
Dommage pour une musique si bonne, si desservie par ce ridicule growl...
Dommage je m'étais épris pour ce groupe...
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5, c'est la note que je donne aux albums d'opeth depuis que j'ai adhéré aux compositions du groupe avec Watershed. Pas forcément en attente d'un retour de la voix growl mais en attente de nouvelles compositions ! Oui opeth comme peu d'autres groupes nous offre à chaque album de nouvelles approches musicales visitant d'autres styles et variant constamment le rythme d'un morceau, rien de linéaire on voyage dans chaque morceau avec de très très bon musiciens ! Et avec ce nouvel album, opeth relève encore le niveau, un plaisir d'écoute du début à fin (petit bémol pour le dernier morceau, je n'adhère pas). Les voix sont parfaitement maîtrisées avec une production qui les décales dans l'espace. Un album brillant ! Vivement le prochain ;-)
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Un album d'une qualité très inégale, avec plusieurs titres heavy mais fadasses. Opeth cherche t'il un nouveau souffle ?
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Le plus grand groupe du monde a omis d'être à la hauteur de sa production. La qualité sonore est inégale et indigne de notre époque.
OPETH a pris un virage "rétrogressif" depuis quelques albums, en mettant de côté le prog/métal de sa jeunesse, avec justesse et succès.
Héritage et Pale Communion sont les fers de lance de cette orientation.
Sorceress n'a pas la même dynamique. Les titres acoustiques restent purs et envoûtants, mais plusieurs autres titres sont fades et passablement inspirés.
Un excès de zèle ?
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Un album très intelligent et authentique à la fois, presque viscéral.
Après "Heritage", Opeth redonne un rythme à sa musique, une dynamique qui rend l'ensemble plus accessible. Si les énormes 'Moon Above, Sun Below' et 'River' possède encore ces touches psychédéliques chères à "Heritage", des titres comme l'opener aux sublimes mélodies de clavier, un 'Cusp Of Eternity' rectiligne et hypnotique et le duo final qu'est 'Voice Of Treason'/'Faith In Others' (dense et majestueux) font de cet album un indispensable dans la carrière du groupe tant l'ensemble et riche, touchant, mélancolique, entrainant, jouant avec l'auditeur entre douceur et puissance avec une épaisseur sonore réelle. Vivement conseillé !
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D’"Heritage" Opeth conserve la forte empreinte 70’s avec Steven Wilson en ombre planant de plus en plus dans la composition d’Akerfeldt. Son admiration pour l’anglais et son travail récent se retrouve comme jamais auparavant dans ce "Pale Communion". Il m’a été quasiment impossible d’écouter cet album sans penser à "The Raven That Refused To Sing". Les conclusions de ‘Faith In Others’, ‘River’ et ‘Moon Above, Sun Belwo’ font directement référence au chef d’œuvre de Wilson et les riffs arpégés (‘Elysian Woes’), qui ont toujours été d’une grande complexité chez Opeth, tendent à se rapprocher de la relative simplicité de ceux de Wilson. Les progrès au niveau du chant d’Akerfeldt sont notables et les chœurs qu’il nous donne à entendre sont d’une grande maitrise. Toujours les petites malhabiletés dans certaines jonctions, la plus criante se révèle dans le long ‘Moon Above, Sun Below’, qui me font dire qu’Akerfeldt n’est pas tout à fait à l’aise dans sa nouvelle peau. Le son global du disque est quant à lui un véritable voyage dans le temps (jusqu’à la caricature avec ‘Goblin’) au charme tellement appréciable à notre époque dominée par le synthétique. Les musiciens sont aussi tout à leur aise dans des formats moins saturés, la section rythmique est une réjouissance, et les soli d’Akesson brillent particulièrement par leur construction et leur expression.
Entre les racines progressives scandinaves d’Akerfeldt et l’inclination wilsonienne ce "Pale Communion" montre un Opeth abandonnant définitivement le métal. Il faut juger ce disque en faisant autant que possible abstraction du Opeth de "Deliverance", explosif et débordant de créativité. La finesse est ici bien plus dissimulée et s’exprime particulièrement dans les ambiances et les arrangements (‘Faith In Others’). Certainement moins brutal dans la complexité que les autres albums du groupe ce dernier n’en reste pas moins secret et timide à livrer tous ses charmes.
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