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Contrairement à son prédecesseur, "Second helping" ne contient qu'un seul titre qui sort vraiment du lot, et qui d'autre que cet hymne du rock: "Sweet Home Alabama"!!
D'un autre côté, on ne trouve pas de réel point faible et l'ensemble est pour moi un chef-d'œuvre, et je n'ai pas peur de le dire! Chaque titre apporte sa pierre à l'édifice. Toujours dans son style southern rock, LYNYRD SKYNYRD nous livre masterclass après masterclass et c'est vraiment un régal à écouter... 53 minutes de pur bonheur.
Je recommande vraiment cet album à n'importe qui veut découvrir le groupe!!
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Juste pour les titres "Free Bird", "Simple Man", et "Tuesday's gone" j'ai envie de dire que ce groupe est légendaire. Mais quand on sait que tous ces titres sont réunis dans un seul et même album on reste sans voix...
Dommage que le reste soit un peu en dessous dans l'ensemble ( dur de faire mieux il faut dire...) même si cela reste très agréable à écouter.
Sur son premier album, LYNYRD SKYNYRD aura presque touché la perfection... Chapeau!
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Il n’est pas question ici de critiquer le talent de Beth Hart. Celle-ci dispose clairement des atouts vocaux pour interpréter du Led Zeppelin sans rougir. Ma réserve porte plus sur un exercice dont je suis peu friand, à l’inverse semble-t-il de nombreux artistes, celui de l’album de reprises.
Car quoi de plus simple que d’aller piocher dans le répertoire d’artistes confirmés et de leur "piquer" leurs plus belles chansons sous couvert de réinterprétations ou d’hommages ? L’écoute d’un titre connu déclenche chez l’auditeur un réflexe pavlovien qui profite à celui qui reprend la chanson sans aucun mérite. C’est bien le cas ici où Beth Hart livre une version bien proche des titres originaux, honnêtes mais sans rien apporter à l’œuvre de Led Zeppelin.
Alors oui pour des reprises s’il s’agit d’un titre noyé dans de nouvelles créations ou, à la rigueur, en album bonus d’un véritable nouvel album. Ce qui n’est pas le cas ici. Le plus grand mérite de cet album, pas déplaisant par ailleurs, est de donner envie de se replonger dans la passionnante discographie de Led Zeppelin.
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Voilà un album qui me laisse une impression mitigée.
Le timbre de Ian Anderson et sa flûte virevoltante font partie des marqueurs de Jethro Tull. Ils sont omniprésents sur "The Zealot Gene", peut-être même un peu trop, laissant bien peu d'espace à leurs camarades de jeu. Néanmoins, ils font indéniablement partie des points positifs de l'album. Autre point fort, la qualité des compositions. Il s'agit certes de simples chansons folk-rock mais fort bien troussées.
Ces belles qualités sont néanmoins entachées par une certaine monochromie dans les ambiances : si les compositions sont variées (entendez par là que les mélodies vont puiser dans différents styles et que la palette instrumentale est relativement large), le caractère mid-tempo de la quasi-totalité des chansons finit par plonger l'auditeur dans une certaine somnolence. Passés les quatre premiers titres, l'intérêt tend à s'estomper et l'attention à se dissiper. Cette impression est renforcée par la prestation vocale de Ian Anderson. Celui-ci conserve d'un bout à l'autre un chant mezzo voce bienveillant. Choix artistique ou problème de cordes vocales ? Toujours est-il que cela confère au disque une uniformité qui, elle aussi, finit par diluer l'intérêt de l'auditeur.
Avec ce nouvel album de Jethro Tull, c'est comme si l'on retrouvait un vieux copain perdu de vue depuis des années : au début, on est heureux de se revoir et puis on s'aperçoit vite qu'en fait, on n'a pas grand-chose à se dire. Néanmoins, une fois qu'on s'est quitté, on est content de s'être revu.
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Vraiment un super album! Il compile le meilleur des 2 meilleurs albums de queen et entame la transition vers la suite qui est tout simplement parfaite. Et comment oublier des morceaux comme Stone cold crazy (précurseur du thrash métal by Queen) Killer queen ou Brighton rock. C'est un album que l'on réécoute avec plaisir et dont le variations nous montrent la maitrise de ce groupe. Je recommande 2 fois par semaine
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Comme le souligne la chronique d'Abaddon, le nouvel album de Ray Wilson ne révolutionne rien et s'appréhende sans difficulté. Mais les mélodies sont de bonne tenue, l'ensemble est très bien exécuté et Ray Wilson chante admirablement bien (ce n'est pas un hasard s'il a été choisi pour succéder à Peter Gabriel et Phil Collins au sein de Genesis, une expérience trop vite avortée à mon goût). Ce qui fait de "The Weight of Man" un album de qualité et très agréable à écouter sur lequel il serait dommage de faire l'impasse.
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