|
|
|
J'ai eu du mal à apprécier cet album. En fait, depuis que j'ai trouvé pourquoi je le trouve juste excellent. Alors la raison, me direz-vous ? Et ben voilà, le premier titre est non seulement très long mais ce violoncelle donne envie de se tirer une balle.... Et puis il est hors de propos je trouve. Bref depuis que je commence par le 2 titre j'en redemande ! 🤟
|
|
|
|
|
|
|
Autant "Le Grand Voyage" m'avait happé dès les premières secondes pour ne plus me lâcher jusqu'à sa conclusion, autant ce nouvel album me laisse froid. Le mélange entre la profondeur limite extatique des ambiances atmosphériques sombres de l'album précédent avec un retour plus marqué des saillies métalliques ne parvient pas à me convaincre ni à générer les émotions précédemment ressenties.
Pas un mauvais album en soi, mais qui n'arrive pas à me captiver.
|
|
|
|
|
|
|
Un album redécouvert sur le tard. Plus de 20 ans après, cet album regroupe tous les clichés (bons ou mauvais) de la scène metal prog de l'époque. Zero Hour et "The Towers of Avarice" sont les enfants d'un Dream Theater époque "Awake" qui aurait croisé Nevermore...
Rien de déshonorant en soi (bien au contraire) !
Le seul vrai reproche que l'on pourrait faire à cet album est un manque de personnalité et de variété dans certains riffs (notamment les deux premiers titres) donnant une impression de linéarité mais rien de rédhibitoire...
Finalement, une musique, et un jugement similaires à ceux de "Specs of Pictures Burnt Beyond" !
|
|
|
|
|
|
|
Par postulat la musique est avant tout une affaire de ressenti qui fait que les constats sur les albums sont différents. Ce nouvel album du magicien Devin Townsend ne déroge pas à cette règle. "Lightwork" est le fruit d’une longue maturation avec comme objectif de se concentrer essentiellement sur l’aspect chanson et son corollaire, la mélodie. Comme beaucoup d’artistes qui ont soufferts de cette situation, l’impact de la pandémie a fait son chemin et a été certainement le facteur déclencheur de l’aboutissement de ce nouvel album plus lumineux après une période sombre. Le but étant peut être aussi de proposer une lecture d'album plus simplifiée pour éclairer, comme un phare (qui illustre la pochette), certains auditeurs perdus dans un océan créatif parfois furieux ou confus.
Si "Empath" était là pour faire voler en éclats les derniers murs qui restreignaient éventuellement Devin Townsend dans son infinie créativité, "Lightwork" constitue un ensemble plus classique, totalement assumé et pour moi, très cohérent tant dans la démarche que dans la réalisation. Ecrire des compositions plus accessibles n’est pas quelque chose qui est étranger à Devin tant il a parsemé ses albums précédents de chansons immédiates tout en y imprégnant sa signature notamment vocale. "Transcendence" était un peu de cette veine-là. Le point commun étant que ce dernier album du Devin Townsend Project et "Lightwork" sont le résultat d'un travail en équipe (avec les membres du groupe pour le premier et un producteur extérieur pour le second). Coïncidence ?
Ce nouveau disque regorge de mélodies imparables avec son apogée ‘Celestial Signals’ issue des démos de "Transcendence" ici retravaillée pour lui donner un aspect plus symphonique et céleste, pouvant faire un rappel à ‘Spirits Will Collide’ de "Empath". Tout est équilibré dans les compositions en n’oubliant pas ce qui fait le sel de Devin à savoir une certaine folie et une dose de complexité (‘Dimensions’ ou ‘Heartbreaker’). Cet album est réellement lumineux, il fait du bien. Comment ne pas succomber au très beau ‘Call Of The Void’, au léger ‘Vacation’ et au disneysien (sans être péjoratif) ‘Child Of The God’ qui effectivement traine un peu trop en longueur.
Alors oui, c’est un aspect de Devin Townsend qui est plus cadré, moins fou, plus condensé plus simple mais en aucun cas cet album peut être qualifié, à mon sens, de mineur tant sa volonté de faire un album où la mélodie et l’accessibilité sont au centre du projet, de cet exercice imposé, est réussi. Ce n'est quand même pas "Chuckles And Mr. Squeezy" de Dredg ;-) mais à rapprocher du dernier A Perfect Circle.
|
|
|
|
|
|
|
Le meilleur album de Symphpny X depuis The Odyssey pour moi. On y trouve une belle présence du clavier et des mélodies imparables. Les atouts majeurs que sont Michael Romeo et Russel Allen brillent de mille feux mais laissent de la place à leurs compères qui semblent s'y donner à cœur-joie. Contrairement aux précédents opus, de grande qualité aussi, Underworld est moins massif. Il constitue une parfaite harmonie entre l'aspect baroque et mélodique d'une part et agressif et metal d'autre part, le tout dans un écran progressif. Ce retour d'inspiration mélodique présage d'un bel avenir de ce groupe dont on attend avec impatience la suite du parcours.
|
|
|
|
|
|
|
Une source inépuisable de créativité, BTBAM nous offre 80 minutes d'un album riche où les sources d'inspiration sont multiples. Depuis l'album The great misdirect le groupe fait un sans faute !!
Prehistory et Bad habits démontre toute l'étendue de leur talent et la volonté d'explorer tous styles musicaux. Le groupe termine par un morceau de 15 minutes... trop court 🤣
Indéniablement au dessus du lot BTBAM nous offre un album plus dur que le précédent qui était scindé en 2 volets.
Le métal progressif ne se donne pas de frontière et c'est ça qui est bon. Thank you scientist ou edge of reality en ont toutes les qualités.
Vivement une tournée européenne
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|