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Quel chef d'œuvre! Cet album est peut être l'album de Hard rock parfait, surement en fait. Même si back in black était le seul morceau je lui mettrai 5/5. Mais il y a Hells Belles, Shook me all night long, Shot to thrill... Il n'y a aucun défaut. Les rifs sont si entrainants que 'on pourrait les écouter des heures durant sans se lasser. Précis et efficaces. Sans oublier le voix qui n'est autre qu'un autre instrument de musique saturé. Monument du rock et de la musique en général!
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Un joyau exigeant, mais qui fait dans développement durable. Merci à TOPPROG en passant pour son avis circonstancié et... positif. J'en profite pour en remettre une couche par dessus le sieur Christian Larrede de Music Story, qui aurait mieux fait de jeter son dévolu sur un opus apprécié de lui, plutôt que de s'acharner en pure perte sur un disque qu'il juge vain. Comme si son avis, subjectif et personnel, apportait quoi que ce soit au débat.
Et très dommage de retrouver ce même avis sur Qobuz, un droit de cité très mal exploité somme toute. Messieurs les critiques, cessez de distiller votre aigreur de... musicien raté, arrêtez de croire que votre (vain lui), va dissuader les amateurs de ce type d'œuvre intemporelle. La postérité aura vite fait de vous oublier, contrairement à l'objet monumental ciblé par votre fiel.
Mais ne nous égarons pas. Ce disque est une claque, un fidèle compagnon de voyage qu'on peut ressortir années après années, avec ce sentiment de se laisser aller à chaque fois, en terrain à la fois connu mais fourmillant de sensations nouvelles, un baume musical qui apporte émotion, rêverie, errance imaginaire et stimule l'imagination tout en permettant de se relaxer.
Peut-être l'album ultime de Yes, qui a fait plus dense (Relayer, son successeur, plus tourmenté), mais réussit ici avec brio en accouchant d'une suite impressionniste jalonnée de fulgurances et de moments audacieux.
Maniant les tons pastels pour prendre l'instant d'après l'auditeur à rebrousse-poil, cette déambulation à travers des climats étranges, habités, oniriques et inspirés est inépuisable.
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Avis à tous ceux qui vont lire cette critique: rien ne sera objectif ici tellement j'aime ce groupe et cet album!!!
Franchement, mais putain quel kiff d'écouter un album pareil!!! Rien à jeter, tout est parfait je pense qu'on a touché avec Back in Black des sommets rarement voire même jamais atteint... Rien que pour ce morceau en ouverture ("Hells Bells") j'aurais acheté l'album!!! Mais alors la suite n'en parlons même pas : "Shoot to Thrill" est un pur chef d'œuvre avec un Brian Johnson au chant qui est je trouve incroyable. Mais le pire c'est que la suite est tout aussi parfaite!!! Je pense notamment à des morceaux comme "Back in Black" (bien évidemment), "You Shook me All Night Long" ou encore "Have a Drink on Me"... La seule que je mettrais un tout petit peu en dessous est "Let me Put my Love Into you" qui serait pourtant une pièce maîtresse dans beaucoup d'album...
Bref, si vous n'écoutez pas cet album au moins une fois dans votre vie, on peut se dire que vous avez tout rater et encore pire si vous ne l'aimez pas c'est que vous êtes un extraterrestre.
Ps: "Rock And Roll Ain't Noise Pollution" est une petite pépite, un petit joyau que j'adore mais qui n'est pas forcément la plus connue de cet album.
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Sortie de son introspection avec "Both Sides" et surtout en ayant fini avec Genesis il nous revient avec un album plus chaleureux et rythmé que le précédent.
Il nous amène de l’exotisme et nous fait voyager à travers des titres aussi riches que variés avec le retour des cuivres et des percussions.
Ici Harry Kim est utilisé d'une bien meilleure façon qu'auparavant avec une vrai richesse mélodique, ne se contentant plus simplement de tapisser ou combler un vide mais d'apporter un vrai truc en plus.
L'album est plus varié que le précédent et nous propose des titres latin-pop, urban-pop mais aussi pop traditionnelle de grande qualité.
si je devais vous conseiller quelques titres afin de mieux apprécier cet album ou le découvrir ce serait "dance into the light", "wear my hat" et "river so wide".
Je lui préfère son prédécesseur mais il fait tout de même parti des bons crus de l'artiste, enfin c'est mon avis personnel.
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RATT n'a jamais connu le succès planétaire de MOTLEY CRUE ou même POISON. Pourtant, dans les années 80, RATT était un très grand groupe de Hard et les albums que les rongeurs ont sorti sont là pour le prouver. Ainsi, ce "Out of the Cellar" est un album parfait pour découvrir RATT. D'ailleurs, le succès éclair qu'il a rencontré n'est pas dû au hasard. On retrouve sur ce CD les hits (accompagnés de clips très réussis) que sont "Wanted Man", "Round and Round" ou "Back for More". Mais ces copains de MOTLEY CRUE savaient varier aussi les plaisirs en nous offrant des morceaux endiablés ("She wants Money", "I'm Insane") et d'autres franchement Heavy ("In your Direction", "Lack of Communication"). La voix si particulière de Stephen Pearcy permet de reconnaître le groupe entre mille et donc de se démarquer. De même, les guitares de Robbin Crosby (décédé en 2002 du Sida) et de Warren De Martini, sont toujours bien présentes, affûtées, mélodieuses, accrocheuses... La pochette est bien typique de l'époque, avec la femme à genoux (Tawny Kitaen, future Mme Coverdale). Enfin, la production, signée Beau Hill (une des références comme producteur pour ce style de Hard Rock) est très efficace pour l'époque. Non, vraiment, cela fait du bien de se replonger dans ses vieux albums de RATT. L'album "Dancing Undercover" sorti deux ans plus tard, est aussi un must (le morceau “Body Talk” est mortel !).
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Suis-je fou ? Mon album préféré d'AC/DC est "Powerage" ! Et si je vous dis également que j’ai un gros faible pour “Flick of the Switch” (sorti en 1983), là c’est sûr, vous allez me faire interner ! En général, on cite comme meilleur album des kangourous australiens, soit "Let There Be Rock", soit "Highway to Hell" ou encore "Back in Black". Seulement voilà : j'aime ces trois albums mais, je ne sais pas pourquoi, j'ai une légère préférence pour "Powerage", sorti en 1978, entre "Let There Be Rock" et "Highway to Hell" ! Rendons donc hommage à cet album injustement dans l'ombre de ces trois autres monuments du Rock. Comment rester de marbre devant des joyaux tels que "Riff Raff", "Sin City" ou le brûlant "Kicked in the Teeth" ? Les riffs de guitares sont souvent malsains, sombres, comme sur le remarquable "Down Payment Blues", ou l'éprouvant "What's Next to the Moon". Mais AC/DC n'oublie pas les chansons plus "légères" : "Gimme a Bullet" et "Gone Shooting". Et que dire de la voix de Bon Scott ? Respect ! AC/DC était vraiment, à la fin des 70's, LE groupe de Hard Rock par excellence (avec aussi VAN HALEN qui a influencé toute la scène US des 80's), une sorte de réponse au Punk tout puissant, devant lequel les "vieux" groupes tels que LED ZEPPELIN, BLACK SABBATH ou DEEP PURPLE, avait bien du mal à résister. On connaît la suite : la mort de Bon Scott, la mauvaise passe des 80's, puis le retour en force dans les 90's. AC/DC est maintenant lui aussi un dinosaure, mais ce reptile est bien vivace, capable de rassembler un Stade de France, et unanimement salué. Et sur scène, le dinosaure se transforme en dragon capable de cracher le feu ! Ce diablotin d'Angus possède toujours le feu sacré, mais où diable est-il allé le puiser ? Ce doit être cela la "Rock'n'Roll Damnation" !
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