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Du succulent Progressif....vraiment succulent....
Les pièces de guitare sont longues, léchées, bien rondes.
Le Clavier se joint divinement à la guitare et j'adore les voix de Brian et Erik.
Rien de révolutionnaire, mais que c'est juste et bon.
Toutes les pistes du disques sont d'un bon niveau qui donne à l'ensemble une grande cohérence. Asseyez vous dans votre fauteuil club et laissez votre cerveau vagabonder. P.... c'est bon.
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Très bel album de Chris qui développe un son assez pop bourré de belles mélodies à la fois assez simples et originales. La vertu de "Days of Summer Gone" est d'être foncièrement rafraîchissant, spontané, simple et efficace. La musique y est tournée par essence vers la mélodie et les harmonies, sans fioriture et avec douceur.
Le talent n'est-il pas de savoir exprimer beaucoup de façon aisée? Si c'est le cas, alors Chris est très talentueux.
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Une atmosphère pastorale et bucolique se dégage de cet album, même si la tension est parfois présente (mais sans violence, faut pas exagérer). On pourra regretter une certaine uniformité de ton, et le fait que des débuts de lignes mélodiques parfois prometteuses ne soient pas davantage explorées. Une musique agérable , donc, mais pas indispensable.
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Depuis "Shangri-la", je ne comprends décidemment pas la sévérité qui touche ce groupe. Probablement l’étiquette prog qui ne lui convient pas...
Quoi qu’il en soit, un album en dessous de « Shangri-La » mais qui se laisse agréablement écouter…
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Ce que fait Brother Ape n'est peut être pas du prog' mais l'ensemble s'écoute facilement et on passe un agréable moment. Ce n'est pas l'album de l'année mais je pense qu'il saura intéresser ceux qui recherchent quelque chose de simple et varié.
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Curieux que cet album ne plaise pas plus aux amateurs de Néo-prog de ce site... Enfin, Prog-Résiste, le fanzine belge, en a fait tout de même un indispensable de son premier numéro trimestriel 2013 et ils ont bien raison. Autant, je n'avais pas été vraiment convaincu par leur premier opus, autant celui-là me séduit beaucoup plus. Certes, l'une des voix a un côté mielleux voir maniéré, mais cela sied finalement plutôt bien au genre (on pourrait faire le même type de reproche à Clepsydra ou Collage). Là, on a affaire à du bon Néo-prog comme on en faisait dans les 90's, claviers luxuriants (magnifique "Breathe"), voix mélodiques, refrains accrocheurs ("When Snow's Falling Down"), bref, un album qui est digne de figurer dans toute bonne discothèque des amateurs du genre.
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