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Quel pensum ! Si les albums précédents d'United Progressive Fraternity m'avaient séduit, grande a été ma déception à l'écoute de celui-ci. Où est passée l'inspiration qui soufflait sur ses prédécesseurs ? Les mélodies sont non seulement très convenues (ne vous attendez surtout pas à des surprises) mais aussi poussives. Pas d'accroche, pas de rythme, rien qui donne envie de chantonner ou de battre la mesure. Le disque, bien trop long, est très plat, monochrome, uniforme. Bref, on s'ennuie ferme et réussir à écouter l'album d'une seule traite relève de l'exploit, un exploit que je n'ai personnellement pas pu réaliser.
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La lecture de la chronique m'a fait comme un choc : alors que j'avais déjà écouté par deux fois ce nouveau pavé d'UPF, je me serais laissé entraîné par mon enthousiasme (pour ne pas dire mon fan-atisme) lié à toute production annexe aux protagonistes initiaux d'Unitopia qui, jusqu'à présent, aussi bien côté UPF que Southern Empire étaient à créditer d'un sans-faute ?
Le doute m'habita un instant et je me suis dès lors replongé dans les nouvelles aventures de la bande à Mark Trueack, pour en arriver à un constat bien différent de celui de mon ami Abaddon. Non, bien que peut-être un peu long, cet album reste d'une richesse musicale incroyable pour qui veut bien se donner la peine d'une écoute attentive.
On navigue régulièrement du côté d'Unitopia (évidemment) mais aussi Pink Floyd et ses effluves d''Us and Them' ('The Answer'). Les arrangements sont à la fois soyeux et soignés, les choeurs utilisés avec juste propos et les musiciens de top niveau.
Et même l'epic décrié par ailleurs se révèle passionnant.
Alors certes, tout cela a parfois un parfum de déjà entendu, mais pas au point de passer à côté d'une nouvelle belle galette.
Fortement recommandé pour ce qui me concerne.
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Ce qui manque à cet album, c’est l’audibilité. Beaucoup de sonorités, mais peut-être pas assez de vrais instruments. Un maillage instrumental des plus riches, mais un mastering aux abonnés absents. Et le vocal de David, effacé et manquant parfois de justesse, n’arrange pas les choses. C’est dommage, parce qu’au niveau mélodique, "Random..." est une vraie réussite. Avec une production sonore à la hauteur, c'était le jackpot assuré auprès des amateurs de rock progressif romantico-ésotérique.
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J'avais réalisé la chronique de l'album précédent et noté qu'il manquait un petit truc pour faire exploser le compteur à points...Celui-ci n'est malheureusement toujours pas présent ici, et ce qui faisait la force de son prédécesseur (les longs morceaux bien ordonnés et dans une logique progressive) manque cruellement à cet opus. Cependant, ce n'est pas non plus un mauvais album - d'autant plus que la voix de Marc Atkinson fait encore merveille ici -, mais il y avait de quoi faire mieux, réellement. 6,5/10 pour moi...comme mon collègue...
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10 ans déjà que notre ami Batric a rédigé cette chronique. 10 ans ont passé depuis la parution de cet album. Et bien, j'y arrive justement au bout de ces 10 ans et découvre ce disque composé de 3 longs morceaux. Certes, comme Batric l'a bien fait remarqué il n'atteint pas le niveau des grands. Cependant l'homme est seul et propose tout de même une galette qui pourrait intéréssé les progueux dans l'âme amoureux de la période 70's. A travailler de toute urgence : la voix. Monocorde et souvent désarçonnée par une justesse vacillante. Sinon, à part ça, sur la longueur, une grande partie de l'album berce gentillement les oreilles...et c'est déjà ça. 6,5/10
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Je confirme avec joie les avis de Tonyb et Pete T ! Cet album progressif, atmosphérique, lyrique, avec quelques touches de folk et d'electronic, le tout parfaitement lié, frôle la perfection. Souhaitons une belle réussite à ce jeune groupe qui oeuvre avec talent dans un domaine déjà bien encombré. Leur nouvel album "Laid to Rest" sort très bientôt.
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