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Je ne pensais pas qu'il était possible de faire mieux que Tick Tock et surtout Night.... Et bien là ils font aussi bien les bougres! En fait cet album conserve la patte du groupe mais l'ambiance est ici un peu différente.... Enfin ça reste du GAZPACHO, hein.... Mais il y aurait une pointe de magie en plus que ça m'étonnerait pas. Et ce gimmick qui parsème la galette est fort bien trouvé ma foi, il n'est pas redondant et la durée de l'album est juste parfaite. On est pas sur les quasi 80 minutes de la plupart des groupes Prog. Ici c'est 50 minutes de bonheur auditif 😁
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Autant "Le Grand Voyage" m'avait happé dès les premières secondes pour ne plus me lâcher jusqu'à sa conclusion, autant ce nouvel album me laisse froid. Le mélange entre la profondeur limite extatique des ambiances atmosphériques sombres de l'album précédent avec un retour plus marqué des saillies métalliques ne parvient pas à me convaincre ni à générer les émotions précédemment ressenties.
Pas un mauvais album en soi, mais qui n'arrive pas à me captiver.
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Marjana Semkina nous offre un album dans la continuité de ce qu'elle fait au sein d'iamthemorning. Si je suis toujours aussi sensible au charme de sa voix délicate, l'absence des arabesques du piano de Gleb Kolyadin se fait sentir. Agréable à écouter mais un cran en deçà des productions d'iamthemorning.
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C'est bien la peine d'habiter dans la même ville qu'eux et ne découvrir ce groupe que maintenant.
Mais quelle claque que ce nouvel album ! Une atmosphère envoûtante servie par une production fantastique !
Un des albums de 2019 sans aucun doute.
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Je rejoins tout à fait l'avis de Newf. Sur des titres en apparence minimalistes en instrumentation et pourtant très riches (quel paradoxe !), Daniel Tompkins parvient à nous emporter grâce à son chant gorgé d'émotions. La veine mélancolique et parfois éthérée des morceaux n'empêche pas les montées en puissance (Black the sun, Cinders), encore une fois portée par la voix décidément hors du commun de Daniel Topkins. On pourra regretter 2 titres plus faibles (Kiss, Telegraph) et l'abus de versions déclinées (déjà je suis pas trop fan à la base).
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Certains artistes marquent de leur sceau les formations qu’ils animent et vouloir les faire survivre après la disparition de leurs leaders semble vain. Daevid Allen est de ceux-là et Gong sans lui est aussi vide de substance qu’un Van der Graaf Generator sans Peter Hammill ou qu’un Muse sans Matthew Bellamy. Cet album en fait le triste constat tant il est insipide et bien loin du souffle délirant que lui imprimait l’Australien.
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