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Dire que RPWL s’inspire fortement de Pink Floyd est un truisme tant le chant et les solos de guitare sont des copier-coller du meilleur Gilmour. Une ressemblance qui m’agaçait fort il y a quelques années. Mais le temps aidant, et Pink Floyd ayant cessé toute production, j’ai fini par apprécier cet ersatz du groupe anglais, oubliant son côté clone pour ne retenir que ses mélodies agréables. Car si l’ensemble manque de personnalité, c’est par contre fort bien fait.
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