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Je redécouvre cet album que j'avais surtout apprécié en écoute d'ambiance, jusqu'à présent. Sans avoir saisi la multitude des inflexions mélodiques et vocales, que Pendragon a pris le risque de noyer dans une pesante linéarité sonore. C'est une méthode discutable, car même les oreilles avisées peuvent s'y égarer. Mais, si la magie opère, c'est un aspect scintillant qui finit par émaner de cette sonorité, révélant alors toute la richesse mélodique dissimulée sous l'épaisseur du vernis. Pour moi, l'écoute en boucle n'est pas envisageable, mais à dose homéopathique, cet album est une vraie réussite.
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J'écris rarement de commentaire sur les albums (je me borne à les noter) mais quand je lis que les mélodies de Not of this world sont fades, je trouve ça absolument hallucinant. La première force de cet album, est la succession sans pauses de mélodies variées et extrêmement prenantes. À mon goût , le seul défaut de l'album est le mixage évoquant le début des années 90, qui a vieilli et peut rendre l’écoute fatigante. Le plus bel album d'un des 3 groupes trinitaires du neo avec IQ et Marillion.
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Je ne sais pas pourquoi, mais cet album ne passe pas, malgré de nombreuses écoutes. Venant après un sublime Masquerade Overture, il me semble que le groupe cherchait sa voix : reprendre les vieilles recettes en en faisant plus ? Ou bien évoluer vers autre chose ? Il faudra attendre Believe pour la deuxième option. Ici, tout est de trop : trop de claviers (et pourtant, dieu sait si j'adore Clive Nolan) qui envahissent l'espace sonore, trop de vieux plans mélodiques sortis des précédents albums (et notamment un thème de Window of Life), des mélodies qui accrochent moins que d'habitude, des solis de guitare qui se font plus nécessaires qu'utiles aux compositions. Dommage.
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Au risque de choquer l'assistance, l'ennui me gagne rapidement à l'écoute de cet album. La guitare est Floydienne sur fond de nappes synthétiques, très bien, mais les mélodies n'accrochent pas. On peut trouver mieux dans le genre.
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C'est par l'intermédiaire de cet album que j'ai découvert Pendragon. Et j'avoue que plus d'un an après, je suis toujours sous le charme de cet excellent opus. Les compos sont toujours aussi bien travaillées, la guitare sonne toujours aussi merveilleusement bien... Le monde onirique de Pendragon serait-il tout simplement parfait ? Presque car autant Nick Barrett est irréprochable sur son jeu de guitare, autant sa voix apparait assez "limite" de temps en temps... Mais bon, pas de quoi priver ce somptueux disque (sans parler de la pochette, une merveille) d'un beau 9 amplement mérité... J'en redemande !!
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Pendragon est incontournable dans le néo-prog et cet album est un bon exemple de leur maîtrise du genre.
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