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Une honte, un massacre. Non content de spoiler complètement ses anciens camarades en voulant s'approprier l'unique paternité de l'oeuvre de Pink Floyd, Roger Waters tente de donner une nouvelle jeunesse à cet album cultissime, mais en se vautrant dans une fange musicale totalement indigeste. On passera outre sur sa voix sonnant régulièrement faux, du moins quand il essaie de chanter car il y a de nombreuses séquences simplement déclamées, mais même ses talents de compositeurs et surtout d'arrangeurs ne sont désormais plus que l'expression d'un vieillard limite sénile dont les dernières saillies politiques ne font qu'un peu plus casser le lien que l'on pouvait entretenir avec lui.
Pour ma part, il m'est impossible de tenir plus de 2 minutes sur l'écoute de Time ou encore Money.
N'importe quel autre artiste au nom moins prestigieux tentant la même aventure se prendrait immédiatement des scuds de tous les critiques. Que ceux-ci soient un tantinet honnêtes et objectifs et reconnaissent qu'un simple nom ne garantit pas une production de qualité.
On zappe et on oublie.
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Pendragon revient au style de ses origines, celui qui nous avait enchanté sur "The World" ou "The Window of Life".
Mais, au contraire de ces deux albums références en leur temps, la magie n'opère plus vraiment, le groupe se perdant dans une langueur certes sympathique, mais qui finit par lasser, et ce malgré le format court de l'album.
Même s'il est difficile de se renouveler ou de maintenir l'intérêt après plus de 40 années de carrière, on attend beaucoup plus en terme de qualité (et de quantité tant qu'à faire) d'un groupe référence comme Pendragon.
Peut-être que Mister Barrett devrait laisser un peu de place à ses acolytes en les associant au processus de création ?
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La lecture de la chronique m'a fait comme un choc : alors que j'avais déjà écouté par deux fois ce nouveau pavé d'UPF, je me serais laissé entraîné par mon enthousiasme (pour ne pas dire mon fan-atisme) lié à toute production annexe aux protagonistes initiaux d'Unitopia qui, jusqu'à présent, aussi bien côté UPF que Southern Empire étaient à créditer d'un sans-faute ?
Le doute m'habita un instant et je me suis dès lors replongé dans les nouvelles aventures de la bande à Mark Trueack, pour en arriver à un constat bien différent de celui de mon ami Abaddon. Non, bien que peut-être un peu long, cet album reste d'une richesse musicale incroyable pour qui veut bien se donner la peine d'une écoute attentive.
On navigue régulièrement du côté d'Unitopia (évidemment) mais aussi Pink Floyd et ses effluves d''Us and Them' ('The Answer'). Les arrangements sont à la fois soyeux et soignés, les choeurs utilisés avec juste propos et les musiciens de top niveau.
Et même l'epic décrié par ailleurs se révèle passionnant.
Alors certes, tout cela a parfois un parfum de déjà entendu, mais pas au point de passer à côté d'une nouvelle belle galette.
Fortement recommandé pour ce qui me concerne.
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Album rock/folk sympathique où l'on sent effectivement le poids des âges sur le plan vocal. L'entame manque clairement de modernité (un gros retour aux 70's) avant que des sonorités plus percutantes ne viennent donner la réplique à la flûte omni-présente et dont il faut souligner l'absence de caractère sur-joué qui parcourait certaines productions récentes du sieur Anderson.
Petit bémol également sur la durée des titres qui limite certains développements instrumentaux.
Reste au final une galette plus agréable et consistante que celle qui l'a précédée.
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Autant "Le Grand Voyage" m'avait happé dès les premières secondes pour ne plus me lâcher jusqu'à sa conclusion, autant ce nouvel album me laisse froid. Le mélange entre la profondeur limite extatique des ambiances atmosphériques sombres de l'album précédent avec un retour plus marqué des saillies métalliques ne parvient pas à me convaincre ni à générer les émotions précédemment ressenties.
Pas un mauvais album en soi, mais qui n'arrive pas à me captiver.
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La rencontre entre Damian Wilson et la musique d'Arena apparaît comme une évidence, tant le charisme et la puissance du bonhomme colle à merveille à la musique du groupe, impression confirmée en live.
Avec ce nouvel album, Arena revient enfin dans ses standards, après les albums plutôt moyens de l'ère Paul Manzi, même si Double Vision s'avérait plutôt réussi.
Ici, le groupe retrouve un sens mélodique abouti, souvent sublimé par les soli magnifiques de John Mitchell. Certes, la prise de risque est minime et on ne retrouve pas les élans d'un Solomon ou d'un Moviedrome, mais les 11 titres s'enchaînent avec bonheur, avec même quelques clins d'oeil appuyés vers Shadowland.
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