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Le premier album solo de Steve Hackett démontre clairement l'influence du guitariste sur opus de Genesis, et ce notamment sur des albums tels que " Nusery Crime " ou encore " Selling England by the Pound ". Publié au lendemain du départ de Peter Gabriel de la formation anglaise,, ce premier album solo est considéré par beaucoup comme un véritable album de Genesis ; rien ne manque : une illustration originale (que l'on doit a à Mme Hackett), de longs morceaux inspirés, les thèmes récurrents du prog de l'époque (le rêve, des personnages mystiques…), et même les autres membres du groupes - Collins prête sa voix, Rutherford et Banks font des apparitions remarquées.
Cependant, l'album laisse aussi entrevoir d'autres facettes du guitariste qui laissent présager des ses futurs orientations .Pour preuve l'énigmatique " A tower Struck Down " qui évoque plus les expériences de Fripp et du King Crimson ou encore " The Lovers " véritable petite merveille à la guitare sèche.
Souvent délaissé par les fan de Genesis, le premier coup d'essai de Steve Hackett s'impose comme un coup de maître. Un must que tout bon passionné de rock progressif se doit d'avoir dans sa collection. - Site officiel
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LISTE DES PISTES:
01. Ace Of Wands 02. Hands Of The Priestess Part 1 03. Tower Struck Down 04. Hands Of The Priestess Part 2 05. Hermit 06. Star Of Sirius 07. Lovers 08. Shadow Of The Hierophant
FORMATION:
Steve Hackett: Chant / Guitares / Basse / Claviers / Batterie
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(6) AVIS DES LECTEURS
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Je déterre, car j'ai replongé très récemment dans l'écoute de cet album qui m'avait semblé monumental lors de sa découverte initiale.
Ma nouvelle expérience confirme cette sensation d'une oeuvre étonamment complète et aboutie, sans conteste du style progressif. Bon, petite réserve pour le chant, qui ne semble pas être mis en avant et dont il semble qu'on n'attende pas de performance particulière. Excepté pour les magnifiques voix féminines qui ponctuent l'album, très hétérées. C'est clairement la composition, la structure et les arrangements qui sont la matière principale de cet album. Pour ma part, j'y vois plus du King Krimson que du Genesis, bien que la voix de Phil s'y distingue très nettement et que le mellotron ait une bonne place.
Cet album possède une cohésion, une homogénéité. Il nous amène sur des chemins sombres, mélancoliques et parfois rudes. On n'est pas dans le climat romantique des contines britanniques. Très touchant néanmoins. La richesse instrumentale et sa complexité ne peut que ravir et confirmer le talent d'un guitariste hors pair. Le final de "Shadow ..", très "boléro de Ravel", apporte un point final somptueux. J'aurais apprécié une batterie un poil plus punchy sur ce titre, néanmoins c'est une somptueuse envolée lyrique.
Tout véritable fan de Genesis se doit d'écouter au moins une fois cet album de haute volée ; il ira alors naturellement se jucher sur les étagères, en bonne place, au bord de la discographie de Genesis (j'avais la version comportant le label "with his Genesis Friends").
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Le premier album restera le plus progressif, peut-être, de toute la discographie solo de Steve Hackett. Pour un pur bonheur : mélodies accrocheuses ou romantiques, arrangements somptueux, dentelle d’ambiances ésotériques ciselées, c’est le prolongement naturel du Genesis à l’ancienne, incontournable pour les adeptes. Je l’ai tout de suite considéré comme un grand album, et il reste encore l’un de mes favoris dans la discographie, même s’ils sont nombreux à se bousculer sur ce podium Hackettien.
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D’abord les questions : qu’est-on en droit d’attendre d’un album solo d’un des membres de Genesis ? Comment se fait-il que ce soit le membre scéniquement le plus discret qui se lance dans l’aventure ? Avec qui va-t-il le faire ? Quel sera le ton de l’album ?
Donc, Steve Hackett fait paraître “Voyage of the Acolyte”. Jolie pochette, un peu mystérieuse. Line-up : il y a Mike, il y a Phil, mais pas Peter, ni Tony, pourquoi ?
Départ résolument prog : ryhtmes impairs, richesse instrumentale, longueur des titres : ouf, Hackett ne fait pas dans le commercial ! La surprise ne vient pas des parties lentes (magnifique flûte du frérot John sur ‘Ace of Wands’), mais bien de l’atmosphère inquiétante développée sur certains titres (‘Tower Struck Down’, la fin de ‘Star of Sirius’) qui sera une des marques de fabrique des albums solo (avec en point d’orgue “Please Don’t Touch”), tout comme les morceaux solo en guitare classique (‘Lovers’), vaguement scolaires et ennuyeux (avec en point d’orgue le soporifique “Bay of Kings”), ou avec ‘Shadow of the Hierophant’, les beaux soli de guitare planante (dont le plus représentatif sera ‘Spectral Mornings’) ... Steve Hackett se montre un chanteur assez monocorde mais confirme tout le talent qu’on lui connaissait à la guitare.
Un album bien plus varié que prévu, finalement, ce “Voyage”.. Malgré un son un peu daté, qui manque un peu de profondeur, on y revient avec plaisir
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Voir les 6 avis
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LECTEURS:
4.4/5 (16 avis)
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STAFF:
3.8/5 (9 avis)
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EN RELATION AVEC STEVE HACKETT
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DERNIERE INTERVIEW
STEVE HACKETT (03 FEVRIER 2017)
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Music Waves a de nouveau rencontré Steve Hackett pour évoquer la sortie de son 25e album solo "The Night Siren" mais également l'année écoulée particulièrement sombre en termes de disparition de héros musicaux...
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